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Discussion : Scénarios en tous genres

  1. #


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    décembre 2016
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    Quelle belle histoire bien citée j'espère que vous en aurez d'autres aventures dans les années 80 et 90, je comprends tellement votre nostalgie vous devez avoir environ un peu plus de 70 ans, suis né en 1973 et j'ai eu bien du retard pour avoir des plans délicieux contrairement à la majorité des gens.

    Et oui les années 70 les fameuses libérations sexuelles que j'ai peu connu, je me rappel bien par contre les années 80 et 90 quand il y avait beaucoup moins de tabous, de divisions qu'à notre époque..

  2. #


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    août 2010
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    Par défaut Scénarios en tous genres

    3 scénarios
    (où le narrateur a fait un mauvais choix)

    Début des années 70, jeune étudiant parisien, en vacances d’été dans la campagne nivernaise chez mon grand-père, avec un de mes oncles et deux couples amis de celui-ci. Ma petite copine est partie de son côté avec ses parents, je suis un peu désœuvré car l’animation de ce hameau reculé n’est pas bien grande…

    D’habitude, je me balade la journée avec les jeunes du coin, dont certains également dans mon cas, et le soir je bouquine ; à l’époque, pas d’ordinateur ni tablette ni portable, il n’y a non plus pas d’antenne TV sur la maison…

    Les deux couples de banlieusards, 25/30 ans, sont accueillis dans la grande maison rurale, mais les maris rentrent travailler du lundi matin jusqu’au vendredi soir près de Paris.

    Un soir de la semaine, une des épouses me lance après dîner : ”tu viendras me voir ?” un peu en aparté, mais quand même à portée de voix de sa copine de l’autre couple

    Ils étaient venus, son mari et elle, avec une caravane installée dans un coin du vaste jardin, alors que les autres dorment dans la maison.

    ”à Paris, après les vacances ?”
    ”mais non, dans ma caravane, tout à l’heure”
    ”ah, oui, oui…” un peu dubitatif. Je la trouvais jolie et assez délurée, mais mon centre d’intérêt féminin était plutôt porté vers les 17-18 ans, aussi j’imaginais qu’elle voulait me faire visiter en détail sa caravane, sans doute, et sans penser à mal… Mais pourquoi pas en journée ?

    Depuis, ce souvenir me revient périodiquement, et je me rejoue invariablement les scénarios de cette soirée, dans des rêveries érotiques du demi-sommeil :

    Scénario 1 : je me glisse nuitamment près de la caravane, sentant confusément qu’il me faut être discret, tant les nuits sont silencieuses dans la Nièvre… Pas de lumière, ou si, comme une veilleuse à l’intérieur. Je toque légèrement. Des pas, la caravane bouge un peu, puis la porte s’entr’ouvre…
    ”entre” chuchote-t’elle, dans la pénombre, je la devine en nuisette et les jambes nues, au lieu du jean - T-shirt qu’elle avait au dîner
    ”oh, tu allais te coucher !”
    ”t’en fais pas, viens par là…” et me précède vers la partie chambre où le lit à 2 places est déplié et légèrement défait
    ”tiens, assieds-toi”

    Nous voilà côte à côte sur le lit et devisons à demi-voix de choses et d’autres, éclairés d’une faible veilleuse. Un silence vient, puis nos visages se tournent l’un vers l’autre, se rapprochent, et baiser appuyé, plus appuyé et expert de sa part, d’ailleurs.
    Dans la foulée, je passe ma main sous le bas de la nuisette, tentant l’aventure et perdant un peu la tête … je rencontre son sein, le coiffe doucement de ma paume… De son côté, elle m’enlace et ses mains parcourent mon dos, mon torse, et commencent à déboutonner ma chemise, se coulent dessous.

    Suivent progressivement le pantalon, la nuisette, la petite culotte et mon boxer, toujours sans un mot, mais je la sens très motivée, et loin de protester du geste… Avait-elle parié avec sa copine, qui dormait dans la maison, qu’elle allait ”se le faire, ce parisien” ? La suite on la devine, avec un rapport un peu expéditif, mais qui avait semblé lui convenir, même si pour elle c’était certainement ”sans plus”, car elle montrait une grande expérience, et que son mari donnait l’impression d’être un sacré gaillard, y compris en la matière, d’après ses blagues et sous-entendus.

    Retour furtif à la maison, après une heure, tout au plus, de ”visite guidée” donc…

    Scénario 2 : je me glisse nuitamment près de la caravane… Seulement une lueur à l’intérieur. Je toque légèrement, la porte s’ouvre sans bruit…
    J’entre silencieusement, je me coule pour ainsi dire à l’intérieur, et elle se colle aussi sec contre moi, me coupe toute parole, de sa bouche collée contre la mienne, le souffle un peu court.

    Je prends l’initiative, la pousse doucement de quelques pas et la bascule sur la banquette de la ”salle à manger” toute proche, elle ne proteste pas. Je m’agenouille et place ma tête entre ses jambes nues, sous la nuisette prestement relevée, sentant à présent son parfum intime qui me tourne encore plus les sens…

    Ah, çà ! voilà plus de chemin parcouru en 3-4 minutes, qu’en 3 à 4 mois avec ma copine de Paris. Faut dire que l’intendance ne s’y prêtait pas, à Paris (foyers d’étudiants assez stricts et séparés pour nous 2), week-ends chacun dans notre famille respective (c’était les années 70, hein !).

    Elle ôte sa culotte et je plonge dans les délices, où je distribue, sans doute très maladroitement et toujours dans le noir, coups de langue et baisers baveux… Elle me pousse doucement la nuque de temps à autre, esquisse un geste pour me guider… Plusieurs secousses silencieuses s’emparent d’elle, je me sens bizarrement mi-coupable, mi-imprudent…

    Je prétexte un lever matutinal le lendemain, et la quitte après d’autres longs baisers, voulait-elle me retenir ? pas sûr, mission accomplie, car je pensais confusément à un complot ourdi avec sa copine, et dont j’étais à la fois l’enjeu et la récompense…

    Scénario 3 : je reste dans la maison, ayant trouvé la soirée en terrasse un peu fraîche, me glisse dans mon lit, mets la radio en sourdine, car des ronflements commencent à poindre dans la maison, traversant les fines cloisons, faites de simples planches quelquefois (d’origine de l’ancienne ferme). Le polar est bon, je m’entête à le finir, et sombre finalement dans un lourd sommeil…

    Le lendemain, au petit-déjeuner, elle me lance, un peu goguenarde : ”ben alors, t’es pas venu ?”
    ”ben… non, j’étais fatigué, désolé” Heureusement, je n’ai pas prétexté que j’avais en fait oublié sa proposition.
    Inutile d’ajouter que je n’ai plus eu d’autre invites de sa part, de tout le reste du séjour.

    Mais d’après vous, quel scénario s’est effectivement déroulé ce soir-là, le 1er, le 2è, le 3è ? Ah, quel c… je fais parfois ! Mais source inépuisable de fantasmes répétés, cinquante ans après.

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