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Youppie webcam confinement        

Discussion : Scénarios en tous genres

  1. #


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    août 2010
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    Par défaut Glané sur internet

    Autre vidéo intéressante avec une jeune infirmière déjà très pro : https://fra.xhamster.com/videos/that..._campaign=link (titrée C'est mon infirmière préférée 4)

    - De 1:40 à 2:40, préparation d'anthologie de sa tenue (le tissu amidonné qui crisse, les pinces pour retenir la blouse en haut, les collants blancs règlementaires, etc) Tout reste absolument vraisemblable, pas d'érotisme à 2 balles ici.
    On notera l'angle très particulier de la prise de vue, comme épié entre les pans du rideau de privatisation du lit, disposé sur un rail en U autour de cette scène. On trouvera de nombreuses vidéos japonaises avec ce thème du rideau déployé pour que l'infirmière s'adonne à des soins très privés…
    - Vers 2:45 elle annonce qu'elle va mettre du lubrifiant, ce qu'elle fait avec des gestes très précis (ouverture du tube, application sur les mains, etc), on se demande durant toute la vidéo si elle n'est pas réellement infirmière…
    - Vers 4:10, elle lui demande et lui fait constater en se redressant un peu sur le côté, que c'est bien rentré à l'intérieur, et jusqu'au bout…
    - Vers 6:00, elle annonce au patient qu'elle va être plus directive (ses ondulations du bassin font plus penser à une direction en sa faveur à elle, mais non, elle reste absolument impassible)
    - A 8:50, elle lui demande : "on peut prendre la ligne droite ?" c'est à dire, "on peut y aller maintenant ?" et effectivement, à 9:10, ce patient est vraiment chanceux d'être tombé sur elle !

    Le tout, depuis l'application du lubrifiant et jusqu'à la fin, accompagné de bruits de clapotis et de mouille, un pur ravissement pour nos oreilles (visionnage avec casque audio très conseillé, pour toutes ces vidéos)

    On remarquera à la fin, la séquence du recueil du sperme s'écoulant du sexe de l'infirmière, peut-être pas très rigoureux pour les analyses qu'elle mentionne prévues ensuite sur l'échantillon recueilli par ses soins dans la coupelle en verre… C'est un détail récurrent dans les vidéos japonaise, que l'écoulement après l'amour… si ce n'est pour les progrès de la science, c'est sans doute pour le plaisir des yeux !

    Les traductions des sous-titres par Google Traduction instaurent le tutoiement entre le patient et l'infirmière, qui ajoute du piquant en français, mais qui ne me semble pas très crédible dans la société japonaise, et dénote sans doute un ton intermédiaire entre le ton déférent de rigueur entre jeune et adulte, et le tutoiement réel. Il y a de ces subtilités…

  2. #


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    août 2010
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    Par défaut Précisions, avec les sous-titres !

    Je complète la description de cette video, dont je ne me lasse décidément pas :

    - Au début, présentation par la cheffe du contexte du programme de formation, par les autorités locales
    - Ensuite, on salue M. OTA, dont la cheffe précise qu'il a nettoyé "la pièce" avant leur visite… Elle avait précisé qu'il pouvait être normal d'être réticente avant une telle prestation, mais qu'il fallait dans tous les cas avoir la bouche bien propre, et éviter de toucher ou choquer avec les dents
    - On suit avec des considérations sur l'esprit dans lequel on doit délivrer ce soin, comme avec une certaine dévotion
    - Puis conseils sur le toucher du ventre et de la poitrine (les femmes Asiatiques, allez savoir pourquoi, font une fixette sur les mamelons des hommes…)
    - Elle s'inquiète ensuite auprès du patient du mal ou de l'inconfort qu'elle pourrait causer à M. Ota, lui demandant de faire signe en ce cas
    - Les finesses des caresses de la langue sur le gland sont commentées de : "cela fait sortir ainsi les deux bras" ??? mystère de la traduction…
    - À la fin, après s'être essuyé la bouche, elle précise aux 4 étudiantes : "il y a d'autres patients par là (geste de la main), vous pouvez aller vous entraîner maintenant"

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  1. #


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    août 2010
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    Par défaut Scénarios en tous genres

    3 scénarios
    (où le narrateur a fait un mauvais choix)

    Début des années 70, jeune étudiant parisien, en vacances d’été dans la campagne nivernaise chez mon grand-père, avec un de mes oncles et deux couples amis de celui-ci. Ma petite copine est partie de son côté avec ses parents, je suis un peu désœuvré car l’animation de ce hameau reculé n’est pas bien grande…

    D’habitude, je me balade la journée avec les jeunes du coin, dont certains également dans mon cas, et le soir je bouquine ; à l’époque, pas d’ordinateur ni tablette ni portable, il n’y a non plus pas d’antenne TV sur la maison…

    Les deux couples de banlieusards, 25/30 ans, sont accueillis dans la grande maison rurale, mais les maris rentrent travailler du lundi matin jusqu’au vendredi soir près de Paris.

    Un soir de la semaine, une des épouses me lance après dîner : ”tu viendras me voir ?” un peu en aparté, mais quand même à portée de voix de sa copine de l’autre couple

    Ils étaient venus, son mari et elle, avec une caravane installée dans un coin du vaste jardin, alors que les autres dorment dans la maison.

    ”à Paris, après les vacances ?”
    ”mais non, dans ma caravane, tout à l’heure”
    ”ah, oui, oui…” un peu dubitatif. Je la trouvais jolie et assez délurée, mais mon centre d’intérêt féminin était plutôt porté vers les 17-18 ans, aussi j’imaginais qu’elle voulait me faire visiter en détail sa caravane, sans doute, et sans penser à mal… Mais pourquoi pas en journée ?

    Depuis, ce souvenir me revient périodiquement, et je me rejoue invariablement les scénarios de cette soirée, dans des rêveries érotiques du demi-sommeil :

    Scénario 1 : je me glisse nuitamment près de la caravane, sentant confusément qu’il me faut être discret, tant les nuits sont silencieuses dans la Nièvre… Pas de lumière, ou si, comme une veilleuse à l’intérieur. Je toque légèrement. Des pas, la caravane bouge un peu, puis la porte s’entr’ouvre…
    ”entre” chuchote-t’elle, dans la pénombre, je la devine en nuisette et les jambes nues, au lieu du jean - T-shirt qu’elle avait au dîner
    ”oh, tu allais te coucher !”
    ”t’en fais pas, viens par là…” et me précède vers la partie chambre où le lit à 2 places est déplié et légèrement défait
    ”tiens, assieds-toi”

    Nous voilà côte à côte sur le lit et devisons à demi-voix de choses et d’autres, éclairés d’une faible veilleuse. Un silence vient, puis nos visages se tournent l’un vers l’autre, se rapprochent, et baiser appuyé, plus appuyé et expert de sa part, d’ailleurs.
    Dans la foulée, je passe ma main sous le bas de la nuisette, tentant l’aventure et perdant un peu la tête … je rencontre son sein, le coiffe doucement de ma paume… De son côté, elle m’enlace et ses mains parcourent mon dos, mon torse, et commencent à déboutonner ma chemise, se coulent dessous.

    Suivent progressivement le pantalon, la nuisette, la petite culotte et mon boxer, toujours sans un mot, mais je la sens très motivée, et loin de protester du geste… Avait-elle parié avec sa copine, qui dormait dans la maison, qu’elle allait ”se le faire, ce parisien” ? La suite on la devine, avec un rapport un peu expéditif, mais qui avait semblé lui convenir, même si pour elle c’était certainement ”sans plus”, car elle montrait une grande expérience, et que son mari donnait l’impression d’être un sacré gaillard, y compris en la matière, d’après ses blagues et sous-entendus.

    Retour furtif à la maison, après une heure, tout au plus, de ”visite guidée” donc…

    Scénario 2 : je me glisse nuitamment près de la caravane… Seulement une lueur à l’intérieur. Je toque légèrement, la porte s’ouvre sans bruit…
    J’entre silencieusement, je me coule pour ainsi dire à l’intérieur, et elle se colle aussi sec contre moi, me coupe toute parole, de sa bouche collée contre la mienne, le souffle un peu court.

    Je prends l’initiative, la pousse doucement de quelques pas et la bascule sur la banquette de la ”salle à manger” toute proche, elle ne proteste pas. Je m’agenouille et place ma tête entre ses jambes nues, sous la nuisette prestement relevée, sentant à présent son parfum intime qui me tourne encore plus les sens…

    Ah, çà ! voilà plus de chemin parcouru en 3-4 minutes, qu’en 3 à 4 mois avec ma copine de Paris. Faut dire que l’intendance ne s’y prêtait pas, à Paris (foyers d’étudiants assez stricts et séparés pour nous 2), week-ends chacun dans notre famille respective (c’était les années 70, hein !).

    Elle ôte sa culotte et je plonge dans les délices, où je distribue, sans doute très maladroitement et toujours dans le noir, coups de langue et baisers baveux… Elle me pousse doucement la nuque de temps à autre, esquisse un geste pour me guider… Plusieurs secousses silencieuses s’emparent d’elle, je me sens bizarrement mi-coupable, mi-imprudent…

    Je prétexte un lever matutinal le lendemain, et la quitte après d’autres longs baisers, voulait-elle me retenir ? pas sûr, mission accomplie, car je pensais confusément à un complot ourdi avec sa copine, et dont j’étais à la fois l’enjeu et la récompense…

    Scénario 3 : je reste dans la maison, ayant trouvé la soirée en terrasse un peu fraîche, me glisse dans mon lit, mets la radio en sourdine, car des ronflements commencent à poindre dans la maison, traversant les fines cloisons, faites de simples planches quelquefois (d’origine de l’ancienne ferme). Le polar est bon, je m’entête à le finir, et sombre finalement dans un lourd sommeil…

    Le lendemain, au petit-déjeuner, elle me lance, un peu goguenarde : ”ben alors, t’es pas venu ?”
    ”ben… non, j’étais fatigué, désolé” Heureusement, je n’ai pas prétexté que j’avais en fait oublié sa proposition.
    Inutile d’ajouter que je n’ai plus eu d’autre invites de sa part, de tout le reste du séjour.

    Mais d’après vous, quel scénario s’est effectivement déroulé ce soir-là, le 1er, le 2è, le 3è ? Ah, quel c… je fais parfois ! Mais source inépuisable de fantasmes répétés, cinquante ans après.

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