Un an après la bataille…
Je ne suis pas mort. Je m'excuse pour ce retard considérable (onze mois, tout de même) dans la rédaction de mon dernier jour sur place et qui a inquiété certains d'entre vous. Je vais bien. Merci pour vos messages. J'ai été bien malade les derniers jours et puis j'ai été frappé par l'immense blues du retour des vacances qui m'a fait reporter toujours plus loin la promesse que je m'étais faite de rapporter chaque jour de mon voyage. Si ce dernier jour avait été oubliable, peut-être aurait-il été moins grave de ne pas le mentionner mais il ne l'a pas du tout été. Au contraire, il a été au niveau du titre que j'avais proposé : Darmageddon, fin de partie !
Je ne me souviens certes pas de tous les détails mais l’essentiel est encore clair comme de l’eau de roche dans mon esprit. Au matin, je suis dans un état pitoyable, avec des aller-retour fréquents là où le roi va seul. Tout de même, je prends un boda en fin de matinée pour me rendre au Shoppers Plaza déjeuner, me réapprovisionner en préservatifs en vue du carnage que je prévois pour la fin de journée. J’ai aussi retiré à l’ATM d’Eco Bank et c’est auprès de cet établissement bancaire que j’ai eu les frais les plus faibles de tout mon séjour, de très loin. Je me sens légèrement mieux après une dernière purge et je rentre à pieds à mon logement en vingt minutes.
J’organise le match retour du glorieux plan à trois de la veille avec Assyah et Vicky. On ne change pas une équipe qui gagne ! J’ai créé une discussion de groupe sur Whatsapp intitulée “3 better than 2” (vous excuserez mon manque d’imagination) afin de nous coordonner. Les filles arrivent séparément en milieu d’après-midi à une demi-heure je dirais d’intervalle. Je leur achète quelques petits trucs à grignoter et à boire et on se met à l’aise. Vicky a complètement viré bisexuelle depuis hier, comme si elle avait eu une révélation au contact d’Assyah. Pour leur description physique, voir ma publication précédente. On s’enferme dans la chambre tous les trois et le match retour peut commencer. Les deux filles se sont déshabillées, et on s’embrasse tous les trois ensemble. J’ai une main posée sur le cul de chacune des filles et nos bouchent se mêlent, nos langues se mélangent. Quand je tête un téton de l’une, l’autre tête le second puis c’est au tour de l’autre fille de se faire téter. Je mène le jeu seulement partiellement car les filles prennent des initiatives entre elles et se parlent un peu entre deux baisers. Elles sont de bonne humeur, le temps s’écoule paisiblement et je me sens léger, profitant de la compagnie de ces deux jolies jeunes femmes câlines et joueuses entre qui le courant passe à merveille. Vicky se fait lécher la chatte et doigter successivement par Assyah puis par moi-même. Ce n’est pas mon nom mais celui d’Assyah qu’elle a sur les lèvres quand ses gémissements montent. Je ne m’en formalise pas car après tout, j’ai souhaité ce rapprochement entre ces deux filles et celui-ci a fonctionné au-delà de mes espérances. Vicky jouit intensément sous les coups de langue d’Assyah et ne peut contenir ses cris tandis que je lui tiens la tête avec bienveillance. Les filles rient et s'étreignent tendrement. Remise de ses émotions, Vicky se met en place pour rendre la pareille à ce petit volcan en ébullition qu’est la jeune Assyah et moi, je ne sais plus où donner de la bouche ni des mains tellement les combinaisons sont nombreuses. On n’a pas assez d’un après-midi pour épuiser la magie d’un tel moment. Assyah ne jouit pas aussi fort que sa copine mais prend son pied une première fois. Les deux petites coquines ne m’ont pas oublié et m’entourent pour s’occuper de mon anatomie. Cela fait partie des quelques plaisirs secrets de ma vie, que de me faire sucer par deux jolies filles complices qui s’embrassent, jouent et rient tout en se dévouant à lustrer mon service trois pièces. La suite a été une succession de corps à corps bestiaux où j’ai bourré de toutes mes forces ces deux petites salopes. Je les ai limées, baisées, défoncées en changeant régulièrement de position ou de fille. Dans mes efforts, la fille que je ne fourrais pas dans ce moment m’aidait en tenant l’autre, en nous encourageant, en nous regardant avec un soupçon de perversité. J’ai claqué leur cul, les ai traitées de petites putes, serré leur cou pendant qu’elles m’encourageaient à poursuivre mes efforts. Mais à ce jeu, j’ai perdu mon énergie avant elles et pour finir en apothéose, elles se sont agenouillées, appelant mon sperme de leur langue tirée et je les ai repeintes. Rires garantis au moment où elles se sont regardées mutuellement avec les filets de foutre sur le visage et les quelques pointes déposées par-ci par là sur leur seins ou leurs épaules. Je leur demande si elles peuvent encore une fois s’embrasser pour récupérer mon sperme étalé sur elles. Vicky hésite mais Assyah ne lui laisse pas le temps de passer à autre chose et l’embrasse à pleine bouche avec mon sperme en accompagnement. Je ne me souviens plus si Vicky a fait de même ensuite. J’aimerais penser que oui. On reste enlacés un certain temps avant que je n’annonce aux filles qu’il est temps de nous dire au revoir. Je leur donne 50.000 TZS chacune. Elles me remercient. On s’embrasse longuement tous les trois serrés.
Pour la suite de l’après-midi, je reste à l’appartement. Celui-ci est grand, avec plusieurs chambres et il est donc partagé par plusieurs hôtes selon les jours. J’ai croisé au cours de la semaine écoulée ici des touristes occidentaux, en couple, quelques Africains. Il y a des femmes de ménage qui passent tous les jours nettoyer et faire les chambres comme si on était dans un hôtel mais c’est bien un appartement. Régulièrement, c’est à dire plusieurs fois par jour et tous les jours, il y a aussi la venue de celle que nous nommerons Lilia. C’est une employée elle aussi, mais pas femme de ménage, super sexy avec sa blouse et sa jupe bleu qui constituent son uniforme de travail avec ses collgègues de la réception au premier rez de chaussez de ce condominium. Lilia et moi, nous nous croisons et discutons depuis une semaine que je suis ici. Elle connaît mon jeu, à faire venir des filles tous les jours, voire plusieurs dans la même journée mais nous n’abordons jamais le sujet. Nous parlons dans ces moments du pays, de quelques banalités, mais guère plus. Cependant, quand elle a vu que j’étais malade et que je souffrais ces derniers jours, elle s’est inquiétée pour moi et a pris l’initiative de prendre soin de ma personne. Elle m’a donné des conseils et surtout m’a préparé des tisanes aux vertus curatives selon elle pour m’aider à faire passer cette chiasse infernale. Je lui en suis gré et en cette fin d’après-midi quand elle se trouve dans l’appartement pour faire son inspection routinière, je lui confie que je pars cette nuit. Elle s’en désole, aimerait beaucoup que je réserve à nouveau dans cet appart-hôtel pour mon prochain voyage à Dar es salaam dont elle s’enquit de la date. Je lui mens en disant que je compte revenir dès décembre. Je sens une pointe d’intérêt et je tente : voudrais-tu me rejoindre dans l’appartement quand tu seras libre ? Et sans hésiter elle me dit que oui, elle viendra tout à l’heure ! J’en bande déjà. Je vais l’attendre entre une et deux heures et elle se présentera finalement entre 18 et 19 heures en toquant à la porte de ma chambre. Je la salue, la fait entrer et elle s’assoit sur le lit où j’ai remis de l’ordre après le mémorable plan à trois de l’après-midi. Décrivons-la un peu. Lilia est probablement dans la seconde moitié de sa vingtaine mais peut-être est-elle même plus jeune après tout, a des cheveux naturels serrés et ramenés en chignon derrière la tête, des lunettes qui lui donne un petit côté mutin, une silhouette fine, un petit cul bien moulé dans sa jupe réglementaire et une jolie paire de seins pour l’instant bien cachés dans sa blouse. Ses seins, nous allons en reparler, et bien. Pour l’instant, elle ne prend pas d’initiative alors je prends le parti de l'enlacer puis de l’embrasser. C’est timide de sa part, avec une petite résistance, comme si elle était surprise, mais elle ne me fera pas croire qu’elle est venue dans ma chambre en toute innocence. Celle-ci est feinte. Et là, le pot aux roses : elle me dit qu’elle a ses règles. Erf, qu’avait-elle en tête ? Tout de même, on s’embrasse et je lui déboutonne sa blouse où je peux apercevoir, bien enveloppés dans un soutien-gorge blanc, ses deux magnifiques seins. Je le redis : magnifiques. Ils me fracturent la rétine. Ils sont volumineux sans être énormes, bien mis en valeur par le soutif, et pourtant inaccessibles. Quand-même, les choses avancent et ayant fait une croix sur une saillie en bonne et due forme en raison de ses règles qui la bloque, elle a moins de scrupules à s’approcher de mon bâton bien droit. Elle le touche et bientôt l’enfourne au fond de sa bouche. C’est fabuleux. Je la contemple me sucer en voyant sa terrible paire de nichons me narguant outrageusement, non libérés, juste là à me prendre sous le nez. Je les touche mais elle ne me laisse pas défaire l'agrafe qui la conduirait un brin plus loin dans le dévoiement et moi un pas de plus de plus vers la damnation. Je finis par reprendre le manche pour le secouer vigoureusement dans les derniers instants et exploser intensément tout en jetant un regard d’affamé sur sa poitrine si belle et interdite, peut-être encore plus belle parce justement elle m’était interdite. Peut-être l’aurais-je vu dans un autre contexte qu’elle ne m’aurait pas produit un tel effet. Il n’a pas été question d’argent entre nous mais pour ce moment ensemble et en pourboire pour cette semaine passée ici où elle a pris soin de moi, je lui donne 30K qui ne sont clairement pas de trop. Merci Lilia, c’était bref mais intense. Ta paire de seins illumine encore mes souvenirs ; j’en suis tout ébloui.
Pour la soirée, je reçois une ultime fois la visite d’Ann-Rose, qui sait que je dois partir dans la nuit. Elle arrive vers 21H je crois, n’a pas faim et on s’enferme dans la chambre. C’est la dernière étreinte, nous le savons tous les deux. Il y en a eu beaucoup ces trois dernières semaines mais celle-ci est spéciale car elle marque la fin de notre idylle. Elle connaît ma situation, elle sait que j’allais partir, que ce n’était que temporaire, que je ne comptais lui faire aucune promesse insensée et nous passons une douce soirée, sans pathos, sans crise, sans tentative désespérée d’exiger quelque chose en plus au dernier moment. On a fait l’amour avec passion une ultime fois, tout était bien ; je ne voyais pas meilleure manière d’achever ces cinq semaines de voyage en Tanzanie. A la fin de ce Darmageddon, la victoire revient à la vie. Que ma joie demeure (contrepèterie).
Les comptes :
Chambre : 97.000
Boda 1 : 1.000
Préservatifs : 7.000
Déjeuner : 18.000
Frais pour les deux miss (nourriture, boissons) : 23.000
Plan à trois : 2*50.000
Fellation Lilia : 30.000
"Transport" Ann-Rose : 50.000
Boda de nuit pour l’aéroport : 7.500
Total : 333.500 TZS
Et voilà, j’ai terminé, avec beaucoup de retard, ce récit de mon aventure tanzanienne. Merci à ceux qui ont tout lu et qui m’ont fait des retours encourageants. Je ne vends rien ; ma seule rétribution, ce sont vos messages.
“Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale.” Cette phrase a été attribuée à tant d’auteurs que je serais bien en peine de vous dire à qui en revient la paternité. Certains disent à Chamfort mais je n’ai jamais trouvé la source exacte. Voilà cependant le principe qui, à défaut d’être suivi à la perfection par un être aussi imparfait, a guidé mes pas, ici et ailleurs.
A très bientôt sur le forum du Kenya.