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Discussion : Tanzanie : les récits de vos visites

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    avril 2011
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    Par défaut Jour 35 : DARMAGEDDON - Endgame - 2/2

    Un an après la bataille…

    Je ne suis pas mort. Je m'excuse pour ce retard considérable (onze mois, tout de même) dans la rédaction de mon dernier jour sur place et qui a inquiété certains d'entre vous. Je vais bien. Merci pour vos messages. J'ai été bien malade les derniers jours et puis j'ai été frappé par l'immense blues du retour des vacances qui m'a fait reporter toujours plus loin la promesse que je m'étais faite de rapporter chaque jour de mon voyage. Si ce dernier jour avait été oubliable, peut-être aurait-il été moins grave de ne pas le mentionner mais il ne l'a pas du tout été. Au contraire, il a été au niveau du titre que j'avais proposé : Darmageddon, fin de partie !

    Je ne me souviens certes pas de tous les détails mais l’essentiel est encore clair comme de l’eau de roche dans mon esprit. Au matin, je suis dans un état pitoyable, avec des aller-retour fréquents là où le roi va seul. Tout de même, je prends un boda en fin de matinée pour me rendre au Shoppers Plaza déjeuner, me réapprovisionner en préservatifs en vue du carnage que je prévois pour la fin de journée. J’ai aussi retiré à l’ATM d’Eco Bank et c’est auprès de cet établissement bancaire que j’ai eu les frais les plus faibles de tout mon séjour, de très loin. Je me sens légèrement mieux après une dernière purge et je rentre à pieds à mon logement en vingt minutes.

    J’organise le match retour du glorieux plan à trois de la veille avec Assyah et Vicky. On ne change pas une équipe qui gagne ! J’ai créé une discussion de groupe sur Whatsapp intitulée “3 better than 2” (vous excuserez mon manque d’imagination) afin de nous coordonner. Les filles arrivent séparément en milieu d’après-midi à une demi-heure je dirais d’intervalle. Je leur achète quelques petits trucs à grignoter et à boire et on se met à l’aise. Vicky a complètement viré bisexuelle depuis hier, comme si elle avait eu une révélation au contact d’Assyah. Pour leur description physique, voir ma publication précédente. On s’enferme dans la chambre tous les trois et le match retour peut commencer. Les deux filles se sont déshabillées, et on s’embrasse tous les trois ensemble. J’ai une main posée sur le cul de chacune des filles et nos bouchent se mêlent, nos langues se mélangent. Quand je tête un téton de l’une, l’autre tête le second puis c’est au tour de l’autre fille de se faire téter. Je mène le jeu seulement partiellement car les filles prennent des initiatives entre elles et se parlent un peu entre deux baisers. Elles sont de bonne humeur, le temps s’écoule paisiblement et je me sens léger, profitant de la compagnie de ces deux jolies jeunes femmes câlines et joueuses entre qui le courant passe à merveille. Vicky se fait lécher la chatte et doigter successivement par Assyah puis par moi-même. Ce n’est pas mon nom mais celui d’Assyah qu’elle a sur les lèvres quand ses gémissements montent. Je ne m’en formalise pas car après tout, j’ai souhaité ce rapprochement entre ces deux filles et celui-ci a fonctionné au-delà de mes espérances. Vicky jouit intensément sous les coups de langue d’Assyah et ne peut contenir ses cris tandis que je lui tiens la tête avec bienveillance. Les filles rient et s'étreignent tendrement. Remise de ses émotions, Vicky se met en place pour rendre la pareille à ce petit volcan en ébullition qu’est la jeune Assyah et moi, je ne sais plus où donner de la bouche ni des mains tellement les combinaisons sont nombreuses. On n’a pas assez d’un après-midi pour épuiser la magie d’un tel moment. Assyah ne jouit pas aussi fort que sa copine mais prend son pied une première fois. Les deux petites coquines ne m’ont pas oublié et m’entourent pour s’occuper de mon anatomie. Cela fait partie des quelques plaisirs secrets de ma vie, que de me faire sucer par deux jolies filles complices qui s’embrassent, jouent et rient tout en se dévouant à lustrer mon service trois pièces. La suite a été une succession de corps à corps bestiaux où j’ai bourré de toutes mes forces ces deux petites salopes. Je les ai limées, baisées, défoncées en changeant régulièrement de position ou de fille. Dans mes efforts, la fille que je ne fourrais pas dans ce moment m’aidait en tenant l’autre, en nous encourageant, en nous regardant avec un soupçon de perversité. J’ai claqué leur cul, les ai traitées de petites putes, serré leur cou pendant qu’elles m’encourageaient à poursuivre mes efforts. Mais à ce jeu, j’ai perdu mon énergie avant elles et pour finir en apothéose, elles se sont agenouillées, appelant mon sperme de leur langue tirée et je les ai repeintes. Rires garantis au moment où elles se sont regardées mutuellement avec les filets de foutre sur le visage et les quelques pointes déposées par-ci par là sur leur seins ou leurs épaules. Je leur demande si elles peuvent encore une fois s’embrasser pour récupérer mon sperme étalé sur elles. Vicky hésite mais Assyah ne lui laisse pas le temps de passer à autre chose et l’embrasse à pleine bouche avec mon sperme en accompagnement. Je ne me souviens plus si Vicky a fait de même ensuite. J’aimerais penser que oui. On reste enlacés un certain temps avant que je n’annonce aux filles qu’il est temps de nous dire au revoir. Je leur donne 50.000 TZS chacune. Elles me remercient. On s’embrasse longuement tous les trois serrés.

    Pour la suite de l’après-midi, je reste à l’appartement. Celui-ci est grand, avec plusieurs chambres et il est donc partagé par plusieurs hôtes selon les jours. J’ai croisé au cours de la semaine écoulée ici des touristes occidentaux, en couple, quelques Africains. Il y a des femmes de ménage qui passent tous les jours nettoyer et faire les chambres comme si on était dans un hôtel mais c’est bien un appartement. Régulièrement, c’est à dire plusieurs fois par jour et tous les jours, il y a aussi la venue de celle que nous nommerons Lilia. C’est une employée elle aussi, mais pas femme de ménage, super sexy avec sa blouse et sa jupe bleu qui constituent son uniforme de travail avec ses collgègues de la réception au premier rez de chaussez de ce condominium. Lilia et moi, nous nous croisons et discutons depuis une semaine que je suis ici. Elle connaît mon jeu, à faire venir des filles tous les jours, voire plusieurs dans la même journée mais nous n’abordons jamais le sujet. Nous parlons dans ces moments du pays, de quelques banalités, mais guère plus. Cependant, quand elle a vu que j’étais malade et que je souffrais ces derniers jours, elle s’est inquiétée pour moi et a pris l’initiative de prendre soin de ma personne. Elle m’a donné des conseils et surtout m’a préparé des tisanes aux vertus curatives selon elle pour m’aider à faire passer cette chiasse infernale. Je lui en suis gré et en cette fin d’après-midi quand elle se trouve dans l’appartement pour faire son inspection routinière, je lui confie que je pars cette nuit. Elle s’en désole, aimerait beaucoup que je réserve à nouveau dans cet appart-hôtel pour mon prochain voyage à Dar es salaam dont elle s’enquit de la date. Je lui mens en disant que je compte revenir dès décembre. Je sens une pointe d’intérêt et je tente : voudrais-tu me rejoindre dans l’appartement quand tu seras libre ? Et sans hésiter elle me dit que oui, elle viendra tout à l’heure ! J’en bande déjà. Je vais l’attendre entre une et deux heures et elle se présentera finalement entre 18 et 19 heures en toquant à la porte de ma chambre. Je la salue, la fait entrer et elle s’assoit sur le lit où j’ai remis de l’ordre après le mémorable plan à trois de l’après-midi. Décrivons-la un peu. Lilia est probablement dans la seconde moitié de sa vingtaine mais peut-être est-elle même plus jeune après tout, a des cheveux naturels serrés et ramenés en chignon derrière la tête, des lunettes qui lui donne un petit côté mutin, une silhouette fine, un petit cul bien moulé dans sa jupe réglementaire et une jolie paire de seins pour l’instant bien cachés dans sa blouse. Ses seins, nous allons en reparler, et bien. Pour l’instant, elle ne prend pas d’initiative alors je prends le parti de l'enlacer puis de l’embrasser. C’est timide de sa part, avec une petite résistance, comme si elle était surprise, mais elle ne me fera pas croire qu’elle est venue dans ma chambre en toute innocence. Celle-ci est feinte. Et là, le pot aux roses : elle me dit qu’elle a ses règles. Erf, qu’avait-elle en tête ? Tout de même, on s’embrasse et je lui déboutonne sa blouse où je peux apercevoir, bien enveloppés dans un soutien-gorge blanc, ses deux magnifiques seins. Je le redis : magnifiques. Ils me fracturent la rétine. Ils sont volumineux sans être énormes, bien mis en valeur par le soutif, et pourtant inaccessibles. Quand-même, les choses avancent et ayant fait une croix sur une saillie en bonne et due forme en raison de ses règles qui la bloque, elle a moins de scrupules à s’approcher de mon bâton bien droit. Elle le touche et bientôt l’enfourne au fond de sa bouche. C’est fabuleux. Je la contemple me sucer en voyant sa terrible paire de nichons me narguant outrageusement, non libérés, juste là à me prendre sous le nez. Je les touche mais elle ne me laisse pas défaire l'agrafe qui la conduirait un brin plus loin dans le dévoiement et moi un pas de plus de plus vers la damnation. Je finis par reprendre le manche pour le secouer vigoureusement dans les derniers instants et exploser intensément tout en jetant un regard d’affamé sur sa poitrine si belle et interdite, peut-être encore plus belle parce justement elle m’était interdite. Peut-être l’aurais-je vu dans un autre contexte qu’elle ne m’aurait pas produit un tel effet. Il n’a pas été question d’argent entre nous mais pour ce moment ensemble et en pourboire pour cette semaine passée ici où elle a pris soin de moi, je lui donne 30K qui ne sont clairement pas de trop. Merci Lilia, c’était bref mais intense. Ta paire de seins illumine encore mes souvenirs ; j’en suis tout ébloui.

    Pour la soirée, je reçois une ultime fois la visite d’Ann-Rose, qui sait que je dois partir dans la nuit. Elle arrive vers 21H je crois, n’a pas faim et on s’enferme dans la chambre. C’est la dernière étreinte, nous le savons tous les deux. Il y en a eu beaucoup ces trois dernières semaines mais celle-ci est spéciale car elle marque la fin de notre idylle. Elle connaît ma situation, elle sait que j’allais partir, que ce n’était que temporaire, que je ne comptais lui faire aucune promesse insensée et nous passons une douce soirée, sans pathos, sans crise, sans tentative désespérée d’exiger quelque chose en plus au dernier moment. On a fait l’amour avec passion une ultime fois, tout était bien ; je ne voyais pas meilleure manière d’achever ces cinq semaines de voyage en Tanzanie. A la fin de ce Darmageddon, la victoire revient à la vie. Que ma joie demeure (contrepèterie).


    Les comptes :

    Chambre : 97.000
    Boda 1 : 1.000
    Préservatifs : 7.000
    Déjeuner : 18.000
    Frais pour les deux miss (nourriture, boissons) : 23.000
    Plan à trois : 2*50.000
    Fellation Lilia : 30.000
    "Transport" Ann-Rose : 50.000
    Boda de nuit pour l’aéroport : 7.500

    Total : 333.500 TZS

    Et voilà, j’ai terminé, avec beaucoup de retard, ce récit de mon aventure tanzanienne. Merci à ceux qui ont tout lu et qui m’ont fait des retours encourageants. Je ne vends rien ; ma seule rétribution, ce sont vos messages.

    Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale.” Cette phrase a été attribuée à tant d’auteurs que je serais bien en peine de vous dire à qui en revient la paternité. Certains disent à Chamfort mais je n’ai jamais trouvé la source exacte. Voilà cependant le principe qui, à défaut d’être suivi à la perfection par un être aussi imparfait, a guidé mes pas, ici et ailleurs.

    A très bientôt sur le forum du Kenya.

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    Par défaut Jour 34 : DARMAGEDDON - Tout se termine ici - 1/2

    Les amis, c’est ici que tout s'achève, c’est ici, sur les rivages de Dar es salaam, que je viens clôturer dans un apothéose ce séjour mémorable. J'ai recouvré ce que je pouvais de mes forces pour cette dernière bataille où j'ai livré de nombreux et énergiques corps à corps. Vous ne saviez ni le jour ni l’heure mais voici venu Dar-mageddon !

    Je n'ai pas chômé sur Tinder pour faire le tri jusqu'à trouver une bonne candidate et à un prix raisonnable pour faire un threesome. Mais je suis en mesure de vous présenter l’équipe. La nouvelle s’appelle Vicky. Elle a 28 ans, mère célibataire, très noire de peau, enveloppée mais joli visage et bon caractère, un très bon cul et des seins de taille moyenne. Elle a des cheveux naturels attachés en chignon au-dessus de la tête. Elle n’a jamais fait de threesome et est un peu anxieuse. Je la mets en confiance et on commence à s’embrasser dans le canapé en attendant l’arrivée de la deuxième fille. Cette deuxième fille, vous la connaissez un peu maintenant, c’est Assyah, un petit volcan en ébullition de 22 ans avec une énorme paire de seins, un peu très claire qui pourrait faire croire qu'elle est arabe, des tenues toujours bandantes. Vicky est en train de prendre son bain quand Assyah arrive dans la chambre. Le premier contact est assez bon. Elles se parlent en kiswahili et il n’y a pas de malaise. Assyah aussi va prendre une petite douche dans la baignoire et moi j'attends avec Vicky dans mes bras. Assyah nous rejoint et j’enlace les deux filles, en les embrassant d’abord l’une après l’autre. Je pose la main de Assyah sur la fesse de Vicky et de même dans l'autre sens. Elles se touchent les seins, la magie commence à opérer. Je suce successivement leurs tétons puis elles m’imitent tout en poursuivant leurs caresses. On fait un baiser à trois, une des choses les plus belles que j'ai réalisées dans ma vie. Moi qui craignais que la combinaison entre nous trois ne fonctionne pas, voici que mes appréhensions disparaissent complètement. Les filles se prennent complément au jeu et ce n'est que le commencement. Assyah se met accroupie pour me sucer et j’ai une vue d’enfer sur son cul cambré. Vicky se joint à elle pour me lécher les couilles. Elles alternent entre les deux articles à leur disposition. Que deux filles mignonnes et sympas se partagent avec complicité votre bite et vos couilles, voici une autre chose inoubliable dans une vie. J'allonge Assyah sur le dos dans le grand lit et je commence à la lécher pendant que Vicky à côté lui lèche les seins et la caresse. Rien de tout ce que je vous décris n’est précipité. Nous prenons notre temps pour chaque chose. C’est au tour de Vicky de se faire déguster la chatte, d’abord par moi puis, et c'est beau, c'est Assyah qui vient lui faire un cuni. La scène est magnifique : Vicky se fait brouter le minou et par Assyah moi je broute le minou d’Assyah. Et c’est loin d’être terminé. Vicky se révèle complètement, elle qui n’a jamais connu une expérience pareille. Elle gémit en prononçant le nom d’Assyah. Loin d’en être vexé, j’en suis au contraire très heureux. Une alchimie magnifique s’est mise en place entre ces deux filles qui ne se connaissaient pas et que j’ai rapprochées. Je vais ensuite embrasser Vicky puis lui serrer le cou pendant que Assyah lui dévore le clito. Elle entre en transe, crie le nom d’Assyah puis pousse un hurlement aigu au moment de son Intense jouissance qu’elle accompagne d'une puissance fontaine qui mouille les draps. Extraordinaire moment, hors du temps. Vicky enserre Assyah de ses bras, la remercie et elles s’embrassent tendrement. J'ai, pendant quelques instants, disparu pour que ces deux filles profitent de ce moment pour elles. C’est au tour de Vicky de lécher Assyah et moi de m’occuper du minou encore tremblant de Vicky. Notre après-midi coquine avance, je m'équipe pour m’enfoncer d’abord dans Vicky. Sa chatte est encore bien serrée malgré sa grossesse. Elle continue de lécher Assyah. Il y a un très fort contraste de teint qui me frappe. Vicky est très noire tandis que Assyah est si claire qu'on pourrait la prendre pour une Arabe. Je passe ensuite à la saillie de Assyah qui à son tour déguste la chatte de Vicky pendant qu’elle reçoit mes coups de reins. Les positions varient encore, elles me montent dessus à tour de rôle, continuent leurs jeux lesbiens avec une totale désinhibition. Je commence à fatiguer et mes intestins ne me laissent pas en paix. Je me mets debout et les filles comprennent que le temps est venu de me faire cracher. C’est Vicky qui sort sa petite langue toute rose avec un large sourire et les yeux fermés pour recevoir mon foutre tandis que Assyah me gobe les couilles jusqu'à la dernière seconde avant que je ne décharge dans de longues saccades qui inondent la bouche de Vicky. Extraordinaire. Toujours avec le sourire, elle va à la salle de bain retirer la moustache blanche que je viens de lui dessiner. Je m’effondre dans le lit, heureux. Les filles une fois rafraîchies viennent me rejoindre, une dans chaque bras. Quelle paix, quel bonheur. Vient pourtant le moment où il faut bien revenir à la réalité et tandis qu’elles se préparent à partir je donne à chacune d’elles 50.000 shillings. Et toutes les deux me remercient. Voilà messieurs. C’est le prix qu’on peut payer à Dar es salaam pour vivre une expérience inoubliable avec deux filles qui s’amusent sincèrement avec vous pendant quelques heures inoubliables. À côté, j’ai juste dépanné de 2.000 shillings Vicky quant elle est arrivée en boda et j'ai payé 5.000 le Bajaji de Assyah. Cela m’a pris du temps et un effort pour trouver les bonnes filles mais si on s’y met sérieusement cela peut se faire assez aisément.

    Il est presque 18H, maiis la journée est loin d’être finie, loin de là. Alors que les filles sont sur le point de partir, je remarque plusieurs appels en absence sur mon téléphone. Oh putain ! Gina, une fille que j'ai récemment saillie et que j'avais contactée car elle était ouverte pour un plan à trois, m’a appelé plusieurs fois et envoyé des messages pour me dire qu’elle était en bas de l’immeuble. En début d’après-midi j’avais effectivement lancé des perches auprès de plusieurs filles avant de trouver la bonne combinaison entre Vicky et Assyah. Gina n’avait pas répondu sur le moment et voilà que plusieurs heures après, non seulement elle m’écrivait qu’elle était ok mais en plus se pointe sans avoir reçu de confirmation ! Heureusement, quand les filles savent déjà que vous êtes un gros punter en recherche de plan multiples, ça passe plus facilement et les deux filles qui partent s'amusent de la situation et ne m’en tiennent pas rigueur. Les filles se croisent donc sans que cela ne produise aucun scandale. Je n’avais pas le cœur à la congédier. Me voilà maintenant avec Gina à l’appartement. L’ennui, c'est que je viens de jouir intensément et qu'il me semble difficile de remettre le couvert tout de suite. On y va donc doucement. On se câline, on s'embrasse, tout doucement. Gina est très mince, des tout petits seins atrophiés, son tatouage “Dear Mama” sur l'épaule. Une fois une petite vigueur retrouvée, je la baise quelques minutes mais sans le feu sacré de la session précédente. Je me retire pour m’allonger et reprendre mon souffle. Son niveau d’anglais est plutôt faible et elle me traduit un message sur ton téléphone où elle me dit qu’elle a besoin de plus d’argent car sa fille est à l’hôpital et qu’elle doit rentrer. Ah non ! Pas ça ! Je lui réponds que je lui donnerai le même montant que la dernière fois (50K tout de même), où j’avais eu droit à deux cartouches et où elle m’avait donné son cul même si je n’avais pas tout à fait concrétisé. Elle me demande de ne pas être fâché. Je n’envenime pas la situation et laisse passer. Je prends de la vaseline pour lui beurrer le cul et j’essaie de l'enculer mais ça ne passe toujours pas. Tant pis. Elle me masturbe longuement, assise entre mes jambes. À la fin, je m’astique moi-même tandis qu’elle flatte mes bourses et je finis par jouir dans la douleur d'avoir trop tiré sur le manche. Je donne à Gina 50K, même si c’est trop par rapport à ce que j'ai pu donner à d'autres qui ont fait plus et mieux. Pas envie de discuter davantage.

    Mais est-ce fini pour autant ? Figurez-vous que non car j'avais, dès l’arrivée de Gina, relancé une autre fille, encore jamais rencontrée, ouverte pour un plan à trois moyennant 50K. Elle n’est arrivée qu'à 20H et Gina était déjà partie. Je vous propose de l’appeler Colette. Est-ce que quelqu'un a une objection ? Colette a 23 ans, des jolies formes, une perruque bouclée qui lui tombe sur les épaules. Je fais tout pour tempérer, gagner du temps avant de retourner à l’assaut. Elle accepte que je lui offre une bière qu'on va chercher à la réception puis on monte à l’appartement. Nous nous installons dans le grand salon et on lance YouTube sur la SmartTV connectée au téléphone. On découvre nos goûts musicaux respectifs, on chantonne un peu, on rit. C’est une ambiance détendue. Elle est cool. Ça dure bien une heure et demie avant que, le désir renaissant, je la touche de façon de plus en plus entreprenante jusqu'à l’embrasser fougueusement. Je l’emmène alors dans la chambre où on se déshabille et où ou pour gagner encore un peu de temps, je lui demande offre un cunni appliqué. Elle vient ensuite me sucer. Elle a un bon cul bien rond et rebondi. Ses seins sont fermes. Je la baise énergiquement. J'ai retrouvé la force. Je la défonce en profondeur et elle adore. Pendant la levrette qui suit, je titille son anus et je tente. Au départ elle fait la surprise, me dit que je me suis trompé de trou mais je lui confirme que je vise bien de lui pénétrer le cul. Je la rassure. Détends-toi, ça va bien se passer. Elle me fait confiance. Je tartine son cul de vaseline. Je me présente devant l’entrée des artistes, je pousse, et ça passe ! Je m’enfonce petit à petit au fond de son cul. J’y mets toute ma longueur et j’entame un ramonage dont serait fier tout ramoneur. Elle ne souffre pas ou du moins supporte bien. Je l’encule tout en lui tirant les cheveux. Elle m’est complètement soumise à cet instant et toute cette excitation me fait jouir rapidement. J’ai éclaté son cul et elle a bien encaissé, comme une grande. Quand je me retire, le préservatif est immaculé. On discute encore un certain temps au lit. J’en apprends un peu plus sur elle et sur ses précédentes expériences sexuelles. Elle travaille comme secrétaire. Concernant les hommes, elle me dit qu'une fois sur deux les Tanzaniens ne pensent pas au préservatif. Les Européens le font en général. À 23 ans, elle a déjà rencontré via Tinder des Européens, surtout des pays anglo-saxons, quelques Arabes et Asiatiques. Elle a du mal à me croire quand je lui annonce avoir tiré une cinquantaine de coups depuis mon arrivée il y a un mois, surtout avec tant de filles différentes. Mais j'ai perdu le compte, quelqu'un sait ? Je la chauffe pour participer à un foursome demain : Vicky, Assyah, elle et moi. Il y a de l’intérêt dans ses réactions. Je la ferais ainsi directement passer du rapport à deux au plan à quatre sans passer par le plan à trois. Peu commun. Bref, vient le temps pour elle de partir et elle fait la surprise quand je lui donne 50.000 shillings, le prix que je lui avais annoncé avant sa venue. Elle me dit qu’elle s’attendait à 50.000 shillings kényans ! Eh ! Ce n’est pas la même valeur du tout ! Mais surtout, d’où lui vient cette idée saugrenue, que je paierais en shillings kenyans en Tanzanie ? Parce que j’ai utilisé l’abréviation “50K shillings”. Sérieusement, il faut lui apprendre à son âge que la lettre K sert dans la notation d'échelle pour signifier les milliers ? Mais si on suit sa logique, “50K shillings” signifie que je devrais lui donner 50 shillings kényans, même pas de quoi s’acheter un paquet de bonbecs. Quand je lui dis ça, elle change de discours et prend les billets que je lui tends. Est-ce qu’elle n'aurait pas essayé de m’enculer au figuré, elle ? Il est tard et je n’ai pas dîné car je me sens encore mal à cause de ma diarrhée même si cela s’est amélioré. Je me couche, repus de sexe et avec la ferme intention de conclure demain ce Darmageddon par une journée exceptionnelle en conclusion d'un voyage mémorable.

    Les chiffres :

    Chambre : 97.000
    Boda 1 : 2.500
    Déjeuner : 36.000
    Boda 2 : 2.500
    Plan à trois : 2*50.000
    Frais pour les miss : 7.000
    Gina : 50.000
    Colette : 50.000 + 5.000 (Savannah)

    Total : 350.000 TZS

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    mai 2009
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    Par défaut Tanzanie : les récits de vos visites

    J'ai fait une petite excurssion en Tanzanie au mois de Septembre 2013 . J'ai trouver de tres bon prix d'avion au depart de Barcelone (je suis de Catalogne nord ) avec Emirates , avec un retour depuis Nairobi au Kenya . j'ai payer environ 570 Euros . Les prix sont a peu pres similaire au depart des aeroports francais desservit par Emirates . Escale plutot longue a Dubai mais l'aeroport dispose de moquettes relativement comfortable pour dormir dessus . J'arrive a DAr es Salaam vers 15h30 , l'aeroport est tout petit , on peut prendre le visa a l'aeroport , il coute 50 US$ mais c'est assez le bordel au guichet , c'est fait a l'africaine . Je recuppere ma valise puis je vais changer 50 euros au bureau de change de l'aeroport , je prend ensuite un taxi (penser a negocier le prix ) je lui demande de m'ammener au meileur bureau de change de la ville pour changer le gros de mon argent , ensuite il m'emmene au Q-bar guesthouse . La circulation est caotique , il y a des bouchons gigantesque .

    Les hotels a Dar es salaam etant cher j'ai pris une chambre au dessus du Q-bar pour 60 US$ la nuit , la chambre est plutot pas mal , c'est pas un 4 etoiles mais c'est suffisant pour notre activité . Je ne suis rester que de 2 jours a Dar es salaam mais c'etait les 2 meilleurs soir au Q-bar car c'etait les jours ou passe en live des groupes de musiciens , le bar etait pleins des belles gazelles (Jeudi et Vendredi) . le bar est vide avant 21 heures puis il se remplit tres vite . Je descend de ma chambre , il n'y a pas grand monde , je me dirige au comptoir puis une belle gazelle , super look se presente a moi , je lui paye un verre puis on se dirige a une table proche de la scene , on discute puis au bout de 5 minutes elle me fait un signe avec sa bouche m'invitant azl'embrasser , je m'execute . elle est super mignonne fine , petit seins mais un super beau cul , ni trop petit ni trop gros . comme je lui est dit que j'avait une chambre au dessus du bar , au bout de 5 minutes supplementaire , elle me dit qu'elle souhaiterait deposer ses chaussures a talons haut dans ma piolle ! Ohh la la quel piege infernal !!! on monte , elle depose ses chaussures puis me saute dessus et me dit "on baise maintenant ou plus tard ?" je reflechit puis etrangement je lui dit "maintenant" , elle se met immediatement a poil , puis s'allonge sur le lit , je la suit , l'embrasse de partout , sa bouche , son cou , ses seins puis je dessent lentement pour lui prodiguer un bon et tendre cunnilingus , ensuite elle me dit "fuck me " , j'ai pas eu droit a une pipe mais bon !! j'enfile une capotte puis je la prend pour commencer en missionnaire , puis en cow-girl et je la termine en levrette , quelle magnifique vue de voir son cul parfait, aller et venir sur ma queue .
    on prend une douche puis on redescend au bar , il s'est remplit pendant qu'on faisait des galipettes . pleins de beautés africainnes qui bouger et frotter leur corps lors d'une danse collé-serré locale qui ressembler un peu a une chenille .la soirée se passa puis on retourna se coucher , et j'ai eu droit a un second round tout aussi chaud . le lendemain , je decida de rester avec elle le temps de mon periple en Tanzanie (2 jours a Dar es salaam et 2 jours a Zanzibar)
    l'apres midi , on est aller a la plage White sands au nord de la ville , il faut pas s'attendre a une plage de reve , la plage est bien avec sable blanc et parasol en cocotier mais l'eau est marron avec plein d'algues et de sac plastique . de retour a l'hotel , nouvelle cartouche , elle me dit qu'elle n'aime pas la romance et qu'elle aime juste la baise , je l'honnore plusieurs fois de suite avant de repasser la soirée au Q-bar , Je remarque que les filles ont en moyenne une grosse paire de loches sauf la mienne , mais bon j'en ai une qui sait tres bien se servir de ses autres atouts .
    le lendemain , on a pris le ferry pour zanzibar , au environ de 30 US$ pour moi et la moitié pour elle (resident) le ferry met 1h30 pour faire la traversée sur cette mer d'huile . La ville de Stone town est magnifiquement bien conserver , dans le style des cités des contes des milles et une nuits . les plages de l'ile sont paradisiaque avec une eau turquoise magnifique . Mais coté distraction c'est tout le contraire , toutes les femmes sont voilées , meme la mienne porter un foulard et une tenue traditionnelle (elle est pourtant chretienne ) il n'y avait pas d'alcool dans les restos et le bar de l'hotel et il etait marquer a la reception que les invitées exterieures n'etait pas autorisé , J'est bien fait de venir avec mon propre casse croute sinon ça aurait etait abstinance pendant 2 jours (trop dur!!!!)
    J'ai quand meme eu droit a mes 4 baises quotidiennes avant de la quitter pour me rendre a Mombasa au Kenya par un vol de Fly540 (un peu cher =150 US$ ) pour 20 minutes de vol
    la suite dans le forum du Kenya

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