Après une journée passée en bord de mer sur la côte il me reste 20 balles dans mon portefeuille pour entamer le trajet retour vers mon domicile. Je décide d'utiliser ces 20 euros pour une pause pipi au Paradise plutôt que de faire le choix de m'arrêter sur l'aire du pays catalan pour acheter un mauvais sandwich. De toute façon je n'ai pas faim.
J'ai quand même eu rapidement le temps de faire quelques constatations rapides dans le club :
Peu de clients mais à l'heure de ma pause il est trop tôt pour se faire une idée de la fréquentation masculine réelle et puis ce n'est pas ce qui nous intéresse.
Hormis cela j'ai pû m'apercevoir qu'il y avait davantage de demoiselles que lors de mon dernier passage à la Pentecôte.
Toujours les mêmes européennes depuis 15 ans. Pas mal de nouvelles sud-américaines très sexy et sans excès ou exubérances voire proéminences démesurées.
Une marocaine avec suffisamment de vulgarité pour nul doute exceller dans son domaine.
Vulgarité ne doit pas toujours être interprété dans son sens le plus péjoratif à condition d'avoir un mobile de visite adéquat de l'endroit.
Présence de Stefania que j'ai pu appeler Maria par erreur à un moment donné par confusion.
Bref, si l'on recherche une girl next door BCBG on n'est clairement pas, ou plus, au bon endroit. Par contre pour celui qui a envie de se défouler avec une bimbo ultra-sexualisée, tatouée, pimpée avec le dress code adapté il y a quelques jeunes femmes qui méritent que l'on s'arrête peut être 20 minutes sur leur cas même si la vérité du jour n'est pas toujours celle du lendemain.