Bien notés ? Y en a pas un pour rattraper l'autre.. Si l'on exclut la dimension gay, le milieu (sur Paris) est un microcosme pour un homme en solo, qui ne présent plus d'interêt depuis quelques années. A part chopper des champignons et te retrouver en meute de MDF à l'affut de la porte, tu y perdras ton temps et ton argent. J'avais bossé le sujet y a quelques années, mon petit retex a donc quelques bornes au compteur, mais ça s'est forcément dégradé.
Starcity > à l'époque le backroom du Mooncity, où l'on acceptait tous ceux qu'on refusait en face, autrement dit tous les dallards qui présentaient mal. Jamais j'y aurais foutu les pieds. Par contre, le Moon, dans les premières années, c'était orgiaque ! Pour 78 euros, le prix à l'époque, t'en avais vraiment pour ton blé. Depuis, je crois que c'est devenu un peu du n'importe quoi pour un tarif prohibitif.
Sauna Provence > lieu central, mais très vétuste, sans aucun charme. Clientèle famélique. J'espère qu'ils l'ont refait depuis car c'était vraiment glauque.
Eleven > C'est l'ancien Alina Sauna rebaptisé, qui a aussi connu ses heures de gloire, mais qui périclitait depuis 10 ans, après un changement de proprio. Pas très grand, mais y avait une bonne ambiance nourrie par le taulier de l'époque. Cela n'avait jamais redémarré et je suis plutôt pessimiste pour cette nouvelle version.
Atlantide > Il avait pour particularité d'avoir un salle avec un 'sling'. Dans la poignée de gourgandines habituées, t'aurais peut être eu une chance de hisser ton petit drapeau, mais je crains qu'il ne fasse mieux depuis. Et les 'locataires' ont pris de l'âge..
Caméléon > c'était mon préféré, en rapport qualité/quantité/prix (on etait sur 30 euros). Je l'ai fréquenté dès son ouverture, et même si les installations n'ont rien d'exceptionelles (grnd espace mais petit sauna, petit jacuzzi, le gérant de l'époque, Roberto, gouailleur fort sympathique à la comunication facile, avait un certain talent à toujours assurer une présence féminine. ça le faisait plus les dernières fois que je suis passé. La magie et les filles n'étaient plus là.