A peine sorti, je savais que ma première visite, relatée ici, chez Maîtresse Séraphine ne resterait pas sans suite. M’ayant convaincu de son talent de Domina, j’envisageais très vite une deuxième séance longue (2 ou 3 heures) durant laquelle il me serait possible de m’immerger davantage dans la soumission et de bénéficier d’un plus large panel de ses pratiques.
Je fantasmais sur ses photos de QR et quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’Elle annonçait deux journées pendant lesquelles Elle recevrait à Bruxelles avec Maîtresse Mercury.
Je connaissais cette dernière de nom, l’ayant croisée sur Fetlife et sur QR également. Elle reçoit habituellement à Tournai, ce qui n’est pas évident pour moi. De plus, de prime abord, je ne suis pas fan de Maîtresses hyper tatouées, ce qui est Son cas. D’une part, la suite me fera changer d’avis et, d’autre part, Elle officiera avec Maîtresse Séraphine !!
Je regarde mon compte en banque et me dit que, si c’est pour une séance rare comme celle-là, mettons-y le prix. Je décide de m’engager pour deux heures. Elles bousculent l’agenda pour pouvoir me prendre. Merci Maîtresses ! La séance est réservée le lundi pour le vendredi dans le donjon qu’occupe Maîtresse Séraphine, près de la gare du Midi. Je sais pourtant que c’est une mauvaise idée de réserver aussi tôt car, d’un côté, je vais être en surchauffe mentale durant toute la semaine et, bien sûr, Séraphine m’ordonne la chasteté d’ici là ainsi que de préparer mon cul pour la séance et de Lui envoyer des preuves de « l’avancement des travaux » via WhatsApp. D’un autre côté, j’ai tellement peur qu’il n’y ait plus de créneau de libre que le pour et le contre sont rapidement pesés. Et puis, pourquoi le cacher, ce premier supplice de l’attente n’est pas fait pour me déplaire ! Je me rends donc au plus vite dans un sex-shop pour acquérir un plug et dans un magasin plus courant pour du lubrifiant et des capotes. Je m’élargis ensuite durant 4 jours en lui envoyant photos et vidéos, ce qui semble beaucoup Lui plaire.
Arrive le vendredi et, au moment de me mettre en route, je reçois un message me demandant si cela ne me dérange pas de venir dans la maison plutôt qu’au donjon. (Pour rappel, Elle officie dans deux endroits différents de Bruxelles). Aucun soucis, c’est encore plus près. Maîtresse Séraphine m’envoie le nom de la rue et me dit de l’appeler quand je serai là pour qu’Elle me donne alors le N° exact. Je cherche sur GoogleMap et organise le trajet avec une crainte d’un peu de retard. Mais c’est le contraire qui se passe. Comme convenu, je L’appelle pour lui dire que je suis dans les parages. Elle me demande d’attendre quelques minutes, le temps pour Elles deux de finir de se préparer. Elle me rappellera quand je pourrai me présenter. Nouveau supplice de l’attente mais sur un banc, dans un cadre magnifique…et avec mon plug dans le fion, il y a pire. N’empêche qu’une certaine chaleur commence à s’emparer de moi.
Coup de fil durant lequel Elle m’annonce qu’au N° indiqué la porte sera entrouverte, que je n’aurai qu’à rentrer et refermer derrière moi. Au fur et à mesure que le N° approche, une sourde excitation s’empare de moi. Je repère la porte et m’y glisse pour me retrouver nez-à-nez avec ma Divine.
Je m’agenouille pour lui embrasser les escarpins. Elle m’intime l’ordre de la suivre et nous montons dans une maison très chic, genre maison d’architecte.
J’entre dans le salon où se trouve Maîtresse Mercury dont j’embrasse également les pieds nus. Elle est petite avec un mignon petit visage que le floutage sur QR ne permettait pas de deviner.
Première belle surprise.
Premier ordre de Maîtresse Séraphine : « A poil, puis tu mettras ton offrande entre les dents et tu iras la présenter à Maîtresse Mercury. »
Je m’exécute avec dévotion.
Commence alors une petite conversation durant laquelle je dois me présenter. Maîtresse Séraphine me pose des questions dont Elle connaît les réponses mais qui doivent permettre à sa collègue de me cerner d’avantage. Je leur présente également ma page Fetlife avec des photos de cette mémorable séance, relatée ici également, sous la férule de Maîtresse Tana.
Soucieuses de mon hydratation, Maîtresse Séraphine va chercher une bouteille d’eau qu’Elle vide dans la gamelle que lui tend Mercury et c’est tel un toutou docile que je dois m’abreuver.
C’est là qu’Elle se rend compte que malgré que je me sois déshabillé, Maîtresse Mercury n’a pas encore pu voir mon cul dilaté par le plug, erreur vite réparée. Le spectacle semble lui plaire.
« T’es-tu fait un lavement ? » est la question suivante suivie de « et j’espère que tu ne t’es pas masturbé ? ». Je réponds par l’affirmative à la première question et par la négative à la seconde, mais, lorsqu’Elles me demandent d’enlever mon plug pour en vérifier la taille, quelques gouttes tombent sur le sol. Une petite gifle me punit de ce manquement et Maîtresse Séraphine me place deux pinces aux seins en guise de première punition. Elle m’amène ensuite vers la douche où Elle me présente un tube à lavement à mettre à la place du cornet de douche et m’ordonne d’enchaîner les lavements jusqu’à que « ce qui sort soit clair » !
Pendant ce temps, Maîtresse Mercury finit de préparer : Corset, collants noirs et sandales à hauts talons. Une merveille. Quant à Maîtresse Séraphine, Elle porte à nouveau son body de dentelles et son pantalon de cuir noir. Elle est maintenant à pieds nus.
Quand, après plusieurs allers-retours entre la douche et les toilettes, j’annonce que mes tripes sont propres, toutes deux m’appellent à Les rejoindre depuis la chambre qu’Elles occupent maintenant. La pièce ne comprend qu’un grand lit et des étagères remplies de matériel BDSM.
On n’est pas vraiment dans un donjon mais peu importe puisque l’ambiance est là.
Elles m’enlèvent les pinces aux seins et, pendant que Maîtresse Mercury entreprend de les exciter du bout des ongles (Elle a clairement été briffée sur le sujet par Maîtresse Séraphine !), cette dernière me fait lui enfiler ses magnifiques cuissardes. Mais, avant cela, je dois lui lécher les pieds afin d’en enlever la poussière due à ses déplacement à pieds-nus. Un régal. Une fois bottée, Elle me somme de me lever et pendant que Séraphine prend le relais sur mes seins, me mettant en transe, Mercury entreprend un bondage de mon « service trois pièces », bondage auquel Elle ajoute chaînes et poids rendant tout déplacement douloureux….mais tellement excitant. Elle s’y entendent pour se relayer rentre excitation et douleur.
Maîtresse Séraphine me fait m’asseoir devant Elle et Lui lécher les bottes pendant que Maîtresse Mercury attaque à nouveau mes tétons. Je vais hurler mais dois me retenir pour cause de voisinage. Leur présence dans le quartier semble un sujet sensible. Elles m’ont averti que, si je ne savais pas me retenir de hurler, j’aurais droit à un énorme bâillon ! Je mets donc tout en œuvre pour les satisfaire. Je dois lécher les cuissardes sur toute leur surface mais également faire une fellation aux talons et me laisser enfoncer la pointe dans la bouche, Maîtresse voulant m’entraîner aux « gorges profondes » qui m’attendent.
Epreuve suivante. Le sexe toujours bondagé, je suis attaché sur le lit, bras et jambes en croix par les menottes se trouvant aux quatre coins. Mes tétons continuent d’en voir de toutes les couleurs puisque des pinces plus cruelles que les précédentes y on été posées. Maîtresse Mercury à sa consœur : « Tu ne m’avais pas dit que Tu avais acheté des bougies « basses température » ? C’est peut-être le moment de les étrenner, non ? »
Effectivement, Maîtresse Séraphine s’empare d’une boîte dont elle extrait une bougie rouge, l’allume avant de la donner à Mercury qui la place au-dessus de mes couilles. Après quelques secondes, je sens les premières piqûres frapper mes burnes et ma queue. Un délice. Petit à petit, je ne sens plus que le léger choc des gouttes tombant sur la croute formée par les précédente et , en relevant la tête, je vois ma bite et mes couilles complètement moulées de cire. Toute la bougie y passera ! C’est là que commence le supplice de l’épilation. Avec une sorte de peigne métallique, Elle m’arrache la cire et quantité de poils. Pendant que l’Une officie, l’autre s’est emparée d’une roulette à pointes dont Elle m’agace les tétons à présent libérés des pinces. Je crois que je vais devenir fou.
Une deuxième bougie est allumée et c’est au tour de mes tétons d’en faire les frais. Ces Diablesses sont Divines. Cette torture exacerbe encore, comme si c’était possible, la sensibilité de mes tétons avant qu’une nouvelle séance d’épilation ne débute, réalisée par Maîtresse Mercury.
C’est alors que cette dernière fait par de Son désir de se soulager la vessie. « J’avais exactement la même idée » Lui répond Séraphine. Elles décident que l’une se soulagera dans la gamelle déjà évoquée, gamelle qu’il me faudra intégralement boire si je veux bénéficier de la douche dorée de l’autre. Une fois les rôles distribués (pas de problème pour le mien !), je vois Maîtresse Mercury s’accroupir au bout du lit, action suivie du bruit du jet frappant le fond de la gamelle. La miction terminée, Maîtresse Séraphine m’empoigne par le cou et m’emmène au-dessus du récipient que je vide par lapées goulues. Quel cadeau que Votre champagne Maîtresse !
Ceci fait, Maîtresse Séraphine m’indique la douche avec ordre de m’y asseoir. Elle enlève son pantalon de cuir et sa mignonne petite culotte en dentelles pour me présenter une non moins mignonne petite fente surmontée d’un adorable « ticket de métro ». Je vois alors ses lèvres roses mouillées de ce que j’espère présomptueusement être de l’excitation s’écarter progressivement pour laisser s’échapper un jet doré qui vient me frapper en plein visage avant que je ne sente cette douce liqueur dégouliner le long de mon corps. Un instant de bonheur suspendu. Merci Maîtresse. J’en arrive à espérer que Je vais être sommé de Lui faire une toilette intime de la langue mais c’est un bonheur qui me sera refusé. Peu importe, je suis déjà comblé avec ce qu’Elle m’offre.
Séché et revenu dans la chambre, à nouveau couché sur le lit, je vois Maîtresse Séraphine s’harnacher d’un gode ceinture de taille moyenne qu’Elle vient placer devant ma bouche : « Montre-moi où tu en es avec les « gorges profondes » ! ».
J’avance ma bouche pour prendre le chibre que je laisse glisser jusqu’à l’entrée de ma gorge jusqu’au moment où un spasme me signale qu’il est préférable de faire marche arrière.
Maîtresse semble satisfaite même si Elle espère des progrès voulant un jour prochain sentir mes lèvres sur son vente me dit-Elle.
Maîtresse Mercury, qui en a fini avec mes tétons, s’harnache à son tour d’un gode un peu plus gros. Séraphine vient se coucher sur let lit, la bite en l’air et m’ordonne de venir m’empaler sur Elle en Andromaque. Elle veut sentir mes fesses sur son ventre ! Maîtresse Mercury vient se placer face à moi, debout sur le lit un pied de part et d’autre de la tête de son amie. Elle m’ordonne de la piper profond pendant que je m’empale sur le gode et commence de délicieux va-et-vient. Mon ardeur à l’ouvrage semble plaire à mes bourrelles. Le cul en feu et au bord de l’orgasme anal, Elle m’intiment l’ordre d’arrêter et de me coucher sur le dos. Mercury s’empare d’un gode de taille respectable, plus gros que tout ce qui m’a pénétré jusque-là et me l’enfonce sans ménagement dans le cul. Je suis étonné de la facilité avec laquelle il rentre. Elle m’ont chauffé à mort et j’en tire maintenant les bénéfices !! Cette dilatation et l’impression de profondeur sont un vrai bonheur.
Elles se placent ensuite de part et d’autre de moi, me regarde d’un œil vicieux et c’est en m’excitant une nouvelle fois les tétons et en me gratifiant de commentaires salaces qu’Elles m’ordonnent de me branler en les prévenant de l’arrivée du climax. Je m’exécute avec joie et à l’annonce de ma proche délivrance, Maîtresse Séraphine place les mains de manière à recueillir une semence qui, sitôt produite, finit dans ma bouche et sur mon visage, pour ma plus grande satisfaction.
Quelques caresses et regards complices entament la « descente ».
Un nouveau verre d’eau, un social time de qualité et c’est ainsi que se termine cette séance avec ces deux Déesses.
A bientôt mes belles.
Quant à Vous, Maîtresse Mercury, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis laissé dire que Tournai était une bien belle ville et que certaines de ses « attractions » méritaient vraiment le détour !! A bientôt, je n’en doute pas.



