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Discussion : Ixelles : SERAPHINE LUXURY (Maîtresse)

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    mai 2008
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    Par défaut Maîtresses Séraphine et Mercury

    A peine sorti, je savais que ma première visite, relatée ici, chez Maîtresse Séraphine ne resterait pas sans suite. M’ayant convaincu de son talent de Domina, j’envisageais très vite une deuxième séance longue (2 ou 3 heures) durant laquelle il me serait possible de m’immerger davantage dans la soumission et de bénéficier d’un plus large panel de ses pratiques.
    Je fantasmais sur ses photos de QR et quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’Elle annonçait deux journées pendant lesquelles Elle recevrait à Bruxelles avec Maîtresse Mercury.
    Je connaissais cette dernière de nom, l’ayant croisée sur Fetlife et sur QR également. Elle reçoit habituellement à Tournai, ce qui n’est pas évident pour moi. De plus, de prime abord, je ne suis pas fan de Maîtresses hyper tatouées, ce qui est Son cas. D’une part, la suite me fera changer d’avis et, d’autre part, Elle officiera avec Maîtresse Séraphine !!
    Je regarde mon compte en banque et me dit que, si c’est pour une séance rare comme celle-là, mettons-y le prix. Je décide de m’engager pour deux heures. Elles bousculent l’agenda pour pouvoir me prendre. Merci Maîtresses ! La séance est réservée le lundi pour le vendredi dans le donjon qu’occupe Maîtresse Séraphine, près de la gare du Midi. Je sais pourtant que c’est une mauvaise idée de réserver aussi tôt car, d’un côté, je vais être en surchauffe mentale durant toute la semaine et, bien sûr, Séraphine m’ordonne la chasteté d’ici là ainsi que de préparer mon cul pour la séance et de Lui envoyer des preuves de « l’avancement des travaux » via WhatsApp. D’un autre côté, j’ai tellement peur qu’il n’y ait plus de créneau de libre que le pour et le contre sont rapidement pesés. Et puis, pourquoi le cacher, ce premier supplice de l’attente n’est pas fait pour me déplaire ! Je me rends donc au plus vite dans un sex-shop pour acquérir un plug et dans un magasin plus courant pour du lubrifiant et des capotes. Je m’élargis ensuite durant 4 jours en lui envoyant photos et vidéos, ce qui semble beaucoup Lui plaire.
    Arrive le vendredi et, au moment de me mettre en route, je reçois un message me demandant si cela ne me dérange pas de venir dans la maison plutôt qu’au donjon. (Pour rappel, Elle officie dans deux endroits différents de Bruxelles). Aucun soucis, c’est encore plus près. Maîtresse Séraphine m’envoie le nom de la rue et me dit de l’appeler quand je serai là pour qu’Elle me donne alors le N° exact. Je cherche sur GoogleMap et organise le trajet avec une crainte d’un peu de retard. Mais c’est le contraire qui se passe. Comme convenu, je L’appelle pour lui dire que je suis dans les parages. Elle me demande d’attendre quelques minutes, le temps pour Elles deux de finir de se préparer. Elle me rappellera quand je pourrai me présenter. Nouveau supplice de l’attente mais sur un banc, dans un cadre magnifique…et avec mon plug dans le fion, il y a pire. N’empêche qu’une certaine chaleur commence à s’emparer de moi.

    Coup de fil durant lequel Elle m’annonce qu’au N° indiqué la porte sera entrouverte, que je n’aurai qu’à rentrer et refermer derrière moi. Au fur et à mesure que le N° approche, une sourde excitation s’empare de moi. Je repère la porte et m’y glisse pour me retrouver nez-à-nez avec ma Divine.
    Je m’agenouille pour lui embrasser les escarpins. Elle m’intime l’ordre de la suivre et nous montons dans une maison très chic, genre maison d’architecte.
    J’entre dans le salon où se trouve Maîtresse Mercury dont j’embrasse également les pieds nus. Elle est petite avec un mignon petit visage que le floutage sur QR ne permettait pas de deviner.
    Première belle surprise.
    Premier ordre de Maîtresse Séraphine : « A poil, puis tu mettras ton offrande entre les dents et tu iras la présenter à Maîtresse Mercury. »
    Je m’exécute avec dévotion.
    Commence alors une petite conversation durant laquelle je dois me présenter. Maîtresse Séraphine me pose des questions dont Elle connaît les réponses mais qui doivent permettre à sa collègue de me cerner d’avantage. Je leur présente également ma page Fetlife avec des photos de cette mémorable séance, relatée ici également, sous la férule de Maîtresse Tana.
    Soucieuses de mon hydratation, Maîtresse Séraphine va chercher une bouteille d’eau qu’Elle vide dans la gamelle que lui tend Mercury et c’est tel un toutou docile que je dois m’abreuver.
    C’est là qu’Elle se rend compte que malgré que je me sois déshabillé, Maîtresse Mercury n’a pas encore pu voir mon cul dilaté par le plug, erreur vite réparée. Le spectacle semble lui plaire.
    « T’es-tu fait un lavement ? » est la question suivante suivie de « et j’espère que tu ne t’es pas masturbé ? ». Je réponds par l’affirmative à la première question et par la négative à la seconde, mais, lorsqu’Elles me demandent d’enlever mon plug pour en vérifier la taille, quelques gouttes tombent sur le sol. Une petite gifle me punit de ce manquement et Maîtresse Séraphine me place deux pinces aux seins en guise de première punition. Elle m’amène ensuite vers la douche où Elle me présente un tube à lavement à mettre à la place du cornet de douche et m’ordonne d’enchaîner les lavements jusqu’à que « ce qui sort soit clair » !
    Pendant ce temps, Maîtresse Mercury finit de préparer : Corset, collants noirs et sandales à hauts talons. Une merveille. Quant à Maîtresse Séraphine, Elle porte à nouveau son body de dentelles et son pantalon de cuir noir. Elle est maintenant à pieds nus.
    Quand, après plusieurs allers-retours entre la douche et les toilettes, j’annonce que mes tripes sont propres, toutes deux m’appellent à Les rejoindre depuis la chambre qu’Elles occupent maintenant. La pièce ne comprend qu’un grand lit et des étagères remplies de matériel BDSM.
    On n’est pas vraiment dans un donjon mais peu importe puisque l’ambiance est là.
    Elles m’enlèvent les pinces aux seins et, pendant que Maîtresse Mercury entreprend de les exciter du bout des ongles (Elle a clairement été briffée sur le sujet par Maîtresse Séraphine !), cette dernière me fait lui enfiler ses magnifiques cuissardes. Mais, avant cela, je dois lui lécher les pieds afin d’en enlever la poussière due à ses déplacement à pieds-nus. Un régal. Une fois bottée, Elle me somme de me lever et pendant que Séraphine prend le relais sur mes seins, me mettant en transe, Mercury entreprend un bondage de mon « service trois pièces », bondage auquel Elle ajoute chaînes et poids rendant tout déplacement douloureux….mais tellement excitant. Elle s’y entendent pour se relayer rentre excitation et douleur.
    Maîtresse Séraphine me fait m’asseoir devant Elle et Lui lécher les bottes pendant que Maîtresse Mercury attaque à nouveau mes tétons. Je vais hurler mais dois me retenir pour cause de voisinage. Leur présence dans le quartier semble un sujet sensible. Elles m’ont averti que, si je ne savais pas me retenir de hurler, j’aurais droit à un énorme bâillon ! Je mets donc tout en œuvre pour les satisfaire. Je dois lécher les cuissardes sur toute leur surface mais également faire une fellation aux talons et me laisser enfoncer la pointe dans la bouche, Maîtresse voulant m’entraîner aux « gorges profondes » qui m’attendent.
    Epreuve suivante. Le sexe toujours bondagé, je suis attaché sur le lit, bras et jambes en croix par les menottes se trouvant aux quatre coins. Mes tétons continuent d’en voir de toutes les couleurs puisque des pinces plus cruelles que les précédentes y on été posées. Maîtresse Mercury à sa consœur : « Tu ne m’avais pas dit que Tu avais acheté des bougies « basses température » ? C’est peut-être le moment de les étrenner, non ? »
    Effectivement, Maîtresse Séraphine s’empare d’une boîte dont elle extrait une bougie rouge, l’allume avant de la donner à Mercury qui la place au-dessus de mes couilles. Après quelques secondes, je sens les premières piqûres frapper mes burnes et ma queue. Un délice. Petit à petit, je ne sens plus que le léger choc des gouttes tombant sur la croute formée par les précédente et , en relevant la tête, je vois ma bite et mes couilles complètement moulées de cire. Toute la bougie y passera ! C’est là que commence le supplice de l’épilation. Avec une sorte de peigne métallique, Elle m’arrache la cire et quantité de poils. Pendant que l’Une officie, l’autre s’est emparée d’une roulette à pointes dont Elle m’agace les tétons à présent libérés des pinces. Je crois que je vais devenir fou.
    Une deuxième bougie est allumée et c’est au tour de mes tétons d’en faire les frais. Ces Diablesses sont Divines. Cette torture exacerbe encore, comme si c’était possible, la sensibilité de mes tétons avant qu’une nouvelle séance d’épilation ne débute, réalisée par Maîtresse Mercury.
    C’est alors que cette dernière fait par de Son désir de se soulager la vessie. « J’avais exactement la même idée » Lui répond Séraphine. Elles décident que l’une se soulagera dans la gamelle déjà évoquée, gamelle qu’il me faudra intégralement boire si je veux bénéficier de la douche dorée de l’autre. Une fois les rôles distribués (pas de problème pour le mien !), je vois Maîtresse Mercury s’accroupir au bout du lit, action suivie du bruit du jet frappant le fond de la gamelle. La miction terminée, Maîtresse Séraphine m’empoigne par le cou et m’emmène au-dessus du récipient que je vide par lapées goulues. Quel cadeau que Votre champagne Maîtresse !
    Ceci fait, Maîtresse Séraphine m’indique la douche avec ordre de m’y asseoir. Elle enlève son pantalon de cuir et sa mignonne petite culotte en dentelles pour me présenter une non moins mignonne petite fente surmontée d’un adorable « ticket de métro ». Je vois alors ses lèvres roses mouillées de ce que j’espère présomptueusement être de l’excitation s’écarter progressivement pour laisser s’échapper un jet doré qui vient me frapper en plein visage avant que je ne sente cette douce liqueur dégouliner le long de mon corps. Un instant de bonheur suspendu. Merci Maîtresse. J’en arrive à espérer que Je vais être sommé de Lui faire une toilette intime de la langue mais c’est un bonheur qui me sera refusé. Peu importe, je suis déjà comblé avec ce qu’Elle m’offre.
    Séché et revenu dans la chambre, à nouveau couché sur le lit, je vois Maîtresse Séraphine s’harnacher d’un gode ceinture de taille moyenne qu’Elle vient placer devant ma bouche : « Montre-moi où tu en es avec les « gorges profondes » ! ».
    J’avance ma bouche pour prendre le chibre que je laisse glisser jusqu’à l’entrée de ma gorge jusqu’au moment où un spasme me signale qu’il est préférable de faire marche arrière.
    Maîtresse semble satisfaite même si Elle espère des progrès voulant un jour prochain sentir mes lèvres sur son vente me dit-Elle.
    Maîtresse Mercury, qui en a fini avec mes tétons, s’harnache à son tour d’un gode un peu plus gros. Séraphine vient se coucher sur let lit, la bite en l’air et m’ordonne de venir m’empaler sur Elle en Andromaque. Elle veut sentir mes fesses sur son ventre ! Maîtresse Mercury vient se placer face à moi, debout sur le lit un pied de part et d’autre de la tête de son amie. Elle m’ordonne de la piper profond pendant que je m’empale sur le gode et commence de délicieux va-et-vient. Mon ardeur à l’ouvrage semble plaire à mes bourrelles. Le cul en feu et au bord de l’orgasme anal, Elle m’intiment l’ordre d’arrêter et de me coucher sur le dos. Mercury s’empare d’un gode de taille respectable, plus gros que tout ce qui m’a pénétré jusque-là et me l’enfonce sans ménagement dans le cul. Je suis étonné de la facilité avec laquelle il rentre. Elle m’ont chauffé à mort et j’en tire maintenant les bénéfices !! Cette dilatation et l’impression de profondeur sont un vrai bonheur.
    Elles se placent ensuite de part et d’autre de moi, me regarde d’un œil vicieux et c’est en m’excitant une nouvelle fois les tétons et en me gratifiant de commentaires salaces qu’Elles m’ordonnent de me branler en les prévenant de l’arrivée du climax. Je m’exécute avec joie et à l’annonce de ma proche délivrance, Maîtresse Séraphine place les mains de manière à recueillir une semence qui, sitôt produite, finit dans ma bouche et sur mon visage, pour ma plus grande satisfaction.
    Quelques caresses et regards complices entament la « descente ».
    Un nouveau verre d’eau, un social time de qualité et c’est ainsi que se termine cette séance avec ces deux Déesses.
    A bientôt mes belles.
    Quant à Vous, Maîtresse Mercury, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis laissé dire que Tournai était une bien belle ville et que certaines de ses « attractions » méritaient vraiment le détour !! A bientôt, je n’en doute pas.

  2. #


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    Magnifique découverte que Maîtresse Séraphine Luxury.
    Après avoir tenté, en pure perte, de contacter Maîtresses Naëlle et Linda, mon regard est attiré par cette Maîtresse présente sur QR.
    Elle semble jeune, avec un corps de rêve, des tenues ultra excitantes et la présentation de ses pratiques me donne envie d’en savoir plus.
    Je tente le coup mais sans plus de succès qu’avec les deux autres.
    Mais dans l’après-midi, un WhatsApp me fait savoir qu’Elle est à présent disponible.
    Nouvelle tentative, fructueuse celle-là, puisqu’une voix très chaleureuse me répond. Et là, surprise ! Je me présente, Lui fais part de mes recherches et attentes et là où la majorité des Maîtresses se contentent de réponses laconiques tant que l’on a pas réservé une séance, Maîtresse Séraphine entame une conversation qui durera un bon quart d’heure durant lequel Elle me questionne sur mon expérience, mes pratiques préférées, mes tabous de manière, me dit-Elle à établir une fiche pour notre première rencontre ! Nous devons interrompre la conversation mais je suis sous le charme. Un langage châtié, une voix envoûtante, le poisson est ferré !
    Dès le lendemain, je lui envoie un SMS pour booker une séance d’une heure le jour d’après. Réponse rapide, cela peut se faire et nos horaires correspondent. Je ne peux résister au plaisir de la rappeler pour essayer d’organiser cette première rencontre. Elle me dit disposer de deux endroits : une maison près de l’Abbaye de la Cambre mais où les infrastructures sont absentes (tout en me garantissant qu’il y a moyen de très bien s’y amuser !) et un studio davantage dans l’ambiance « donjon », près de la gare du midi. C’est vers cette deuxième solution que je m’oriente. La séance est réservée pour le jeudi 14h.
    Le jour venu, un SMS m’avertit qu’Elle sera peut-être en retard car Elle doit absolument passer dans un sex-shop près de son donjon pour y acheter du matériel. Et quelle n’est pas ma surprise quand, quelques minutes plus tard, Elle me propose de l’y accompagner.
    A 13h30, je piaffe d’impatience devant ce lieu bien connu près de la gare du Midi. Ne la voyant pas arriver, je me permets de l’appeler pour vérifier que j’avais bien compris le message et Elle me dit qu’Elle est en route mais qu’Elle ne trouve pas facilement l’endroit. Je la guide pour me trouver finalement face à Elle en-dessous du pont ferroviaire surplombant le boulevard du Midi. Quel choc. Bien qu’en tenue civile, tout respire la Domina en Elle. Grande, mince, élancée, jolie. Elle va même jusqu’à m’accueillir par un chaleureux bisou. C’est comme si nous nous étions toujours connus.
    Je l’amène au magasin où Elle achète deux flacons de lubrifiants (« C’est pour ne pas trop te faire mal au cul ! » me dit-Elle face au vendeur manifestement surpris), ainsi qu’un nouvel instrument de torture : une double planchette avec des picots à l’intérieur. On peut y coincer bite et couilles et les écraser en actionnant des vis papillons. J’en frémis déjà ! (Mais ce sera pour une autre fois car Elle ne l’utilisera pas aujourd’hui.
    Nous retournons au donjon situé à un jet de pierres de là.
    A peine entrés, le premier ordre fuse. « A poil, tu te mets à genoux sur le lit, le visage dans le matelas pour ne pas me voir pendant que je m’habille et tu écartes bien les fesses pour me présenter ton petit trou. » Je m’exécute tout en entendant des bruits de froissements de vêtements qu’on enlève et qu’on enfile.
    J’entends des bruits de talons qui claquent au sol, me confirmant qu’Elle s’approche.
    Suis alors la sensation d’un liquide aussi gluant que froid qui envahit ma raie culière. Certainement le lubrifiant qu’Elle vient d’acheter. Vient ensuite la sensation de froideur d’un engin oblong qui force mon petit trou et s’introduit sans trop de problèmes.
    « Relève toi et va t’asseoir sur l’alèze que j’ai dépliée au pied du lit » m’ordonne-t-Elle.
    Je m’exécute et là, le choc : Elle est vêtue d’un body noir en dentelles laissant deviner de superbes petits seins, d’un pantalon de cuir noir (du vrai cuir, l’odeur en atteste) et les jambes gainées de magnifiques cuissardes à lacets, noirs elles aussi. Une merveille.
    Je lui obéis et m’assied, ce qui fait rentrer le plug dans mon tréfond. Que du bonheur !
    Elle vient s’asseoir au bord du lit et entreprend de me torturer les tétons que je Lui ai affirmé très sensibles, ce qu’Elle n’a manifestement pas oublié ! Elle leur place des pinces, de même qu’ aux couilles et à la bite en les plaçant de manière à ce que cette dernière qu’Elle trouve aussi insignifiante (et je ne peux lui donner tort !) qu’inutile disparaissent entre mes cuisses. Elle me piétine ensuite les pinces m’amenant savamment au bord de ce que je peux supporter. Mes grimaces et gémissement la fond sourire d’un air aussi moqueur que satisfait.
    Estimant sans doute que j’ai assez souffert, Elle me fait me relever pour reprendre ma position initiale sur le lit : A genoux et « gueule en terre » (ça me rappelle ma jeunesse !) dans le matelas.
    Elle me retire le plug sans ménagement.
    De nouveaux bruissements de vêtement, à nouveau un peu de lubrifiant sur l’oignon et la sensation d’une queue qui veut forcer le passage, ce qu’elle fait aisément, le terrain ayant été bien préparé par le plug. Et là commence une première séance de limage accompagnée de commentaires aussi salaces qu’excitants.
    Interruption, nouveaux bruits de glissements durant lesquels je ne peux m’empêcher de regarder subrepticement pour La voir s’équiper d’un gode d’une taille telle que je ne m’imagine pas pouvoir le recevoir. Nouveau graissage du fion, placement de l’engin et poussée progressive. A ma grande stupéfaction, cela rentre sans problème. Cette Domina est une fée. Et pour ce qui est de manier la baguette, je ne vous dit pas ! Elle a un de ces coups de reins ! Le limage dure quelques minutes durant lesquelles mes chastes oreilles ( !!) en entendent de toutes les couleurs, ce qui m’amène au bord de l’orgasme anal.
    Elle dit de ne pas me gêner de crier, le reste des pièces de l’immeuble étant occupées par des filles de joie qui ne risquent pas de jouer les « mères la pudeur » en m’entendant couiner.
    Toutes les bonnes choses ayant une fin, Elle arrête de m’engoder pour me faire me coucher sur le lit. Elle enlève son harnais pour revenir enjamber mon visage à qui Elle offre sa magnifique paire de petites fesses enrobées de cuir (quel parfum) qu’Elle m’ordonne de lécher pendant qu’Elle s’empare d’un vibro démoniaque avec lequel Elle titille ma queue, ce qui me fait hurler tant les sensations sont fortes.
    Elle fait alors demi-tour et me fait donc ainsi face pour prendre mon tronc et mes bras en étau entre ses cuisses, laissant quand même assez de libertés aux bras pour que je puisse, comme Elle me l’ordonne, commencer à me masturber. Commence alors une séance de teasing des tétons à laquelle il m’est impossible de résister et je gicle dans un orgasme d’une intensité inouïe.
    Elle se relève, me nettoie, me propose une boisson pendant que je commence à me rhabiller.
    Et nous entamons un social time d’une qualité rare. Elle me dit de prendre le temps de « redescendre » en profitant qu’Elle n’a personne qui me suit directement. Nous parlons de tout et de rien comme si nous nous connaissions depuis toujours : de BDSM bien sûr mais également de nos loisirs, nos passions, nos lectures et c’est moi qui doit mettre fin à la conversation, horaires obligent.
    Il est clair que nous nous reverrons sous peu, mais pour une séance beaucoup plus longue avec, si possible des intervenants extérieurs.
    Au moment de nous quitter, Elle m’embrasse chaleureusement et c’est ainsi que se termine cette première rencontre qui en présage bien d’autres.
    Concrètement, ses tarifs sont un peu supérieurs à la moyenne : 250€ l’heure, 450 pour deux heures et 600 pour trois heures ce qui nous ramène là dans les tarifs habituels sur Bruxelles.
    Son donjon est petit et équipé de manière basique mais l’essentiel (Elle !) est là. Elle n’a qu’un rêve en tête : acheter une maison qu’Elle pourra intégralement dédier à la domination et, d’ici là, peut être squatter le donjon de Maîtresse Naëlle également fréquenté par Maîtresse Linda qui est une de ses amies. On a évoqué la possibilité de séances communes.
    Wait and see mais une chose est sûre, Elle m’a littéralement envoûté !

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  1. #


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    septembre 2010
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    Par défaut Ixelles : SERAPHINE LUXURY (Maîtresse)

    https://www.quartier-rouge.be/prive/...omination.html

    J'ai passé, il y a 15jours, une séance magnifique avec Me Séraphine.

    Son apparence est fidèle aux photos et son visage est angélique. Elle est très distinguée, aucun tatouage, très enjouée et cérébrale.

    Française, elle reçoit dans le donjon (très bien équipé) de Me Naëlle, à Bruxelles.

    Dès le départ de la séance, elle met à l'aise, discute des fantasmes, limites, etc.

    Elle peut être aussi hard (pas trop mon truc) que soft. Ses tarifs et pratiques sont répertoriés dans son annonce.

    Adepte de la DS je suis revenu conquis et impatient de la retrouver.

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