Quatrième chambre
Cataleya a un magnifique corps, elle est gentille, sympa, souriante et la chambre me le confirmera : une vraie assoiffée de sexe.
Je ne me rappelle pas avoir eu une chambre de ce niveau cette année, sauf avec Liberty, mais ce n’était pas en club.
Cataleya vous dévore la bouche, vous offre sa langue. Elle a une poitrine menue mais jolie.
Elle m’avait dit faire la gorge profonde, ce n’est pas tout à fait le cas, elle suce très profond, mais pas GP.
Cela dit, elle suce à merveille, une vraie hystérique.
Surtout une fois que vous lui prodiguez un cuni de dieu : le feu. Elle ne se prive vraiment pas de prendre du plaisir, et ça vous rend heureux et fier.
Je la placerai sur ma bouche en face fucking, où elle jouira à s’en retirer tellement elle tremble, puis me sautera dessus pour m’embrasser fougueusement en me remerciant et me complimentant, tout comme Patrisia, pour mon art du cunni.
On passe en mode machine de guerre avec elle, c’est le minimum.
On enchaîne missionnaire, doggy, cowgirl renversée, cowgirl normale. Elle tremble tellement on va profond et intensément.
Elle se jette vers l’arrière et me dit : "Prends-moi de côté." Elle est exténuée. Je lui dis que je n’aime pas cette position. Qu’à cela ne tienne : elle prend un coussin, le place sous ses fesses pour que la pénétration soit plus intense pour elle.
Moi, je suis au bout de ma vie, je rends les armes et lui dis : "Finis-moi à la main ou à la bouche."
Elle se retire et me ressuce comme une fille qui n’aurait pas vu un homme depuis une éternité. Je me dis qu’elle va me finir ainsi… mais non.
Cette fille en veut encore. D’habitude, avec moi, elles abandonnent, trop fatiguées, et ne veulent pas puiser dans leurs réserves physiques pour le reste de la journée.
Elle, non. Elle se remet en cowgirl inversée une fois de plus et, telle une fuck machine, pompe mon dar jusqu’à l’explosion.
Elle tremble, elle est trempée de sueur, se retourne et vient se coller à moi en me galochant, me remerciant pour cette première baise de la journée pour elle.
Bon dieu que c'etait Divin.
Elle, c’est sûr : dès que je la vois, chambre directe. Et je suis fier d’avoir eu du nez, c’est le cas de le dire, plus que jamais.