salut
je pense pas, vu que maintenant il y a une dany, et qui ne lui ressemble guère, je ne pnse pas que la patronne risquerait un conflit nominal
jason
salut
je pense pas, vu que maintenant il y a une dany, et qui ne lui ressemble guère, je ne pnse pas que la patronne risquerait un conflit nominal
jason
C'est dingue, suis-je le seul, en plus de six mois de temps, à être allé avec Daniella ?
Officie t'elle toujours au Bernds ?
Nationalité / langues parlées : Allemande, parle bien anglais
Age : 27 ans
Visage : jolis traits bien que pas très fins, mais un charme certain
Cheveux : blonds
Taille : 1 m 70 environ
Poitrine : jolie, bonnet C doux bien que pas très ferme
Silhouette / corps : généreusement potelée mais pas grosse
Tatouages - Piercings : un tatouage il me semble mais alors où ? Souvenir trop vague...
Fellation : chaude et appliquée, un régal
Cunni : épilée, douce et très réceptive
Embrasse (oui- non) : oui
Autres caractéristiques : très GFE (du moins avec moi)
Un charme tout en retenu. Fort sympathique mais pas excentrique, ce qu’il me fallait. Nous entamons une petite discussion, social-time où nous parlons de nos origines. Je lui caresse la jambe puis l’embrasse. Elle vient se caler dans mes bras, ce qui me permet de l’embrasser plus intensément avant de descendre vers sa poitrine. Quelques minutes de câlin et elle se redresse pour entamer une fellation nature particulièrement douce et chaude. Me voilà presque ému, amusé d’être ainsi pris en bouche devant tout le monde.
En quête d’une chambre nous nous retrouvons dans le couloir à attendre car toutes les pièces sont occupées. Un autre « couple » patiente, je propose des cabrioles de groupe sous la douche mais leur seule réponse sera un fou rire (« qu’ils sont cons ces français »). Dans l’attente Daniella se love contre moi, je comprends pleinement le sens du mot « GFE » : une véritable petite copine très câline.
Après un râle masculin surpuissant, la petite demoiselle qui m’avait ouvert la porte s’éclipse d’une chambre en compagnie d’un vieil ours trois fois plus volumineux qu’elle. En même temps la chambre d’à côté se libère, nous nous y engouffrons.
Mon oursonne étale une serviette sur le lit et nous voilà partis dans un flot de caresses. Je prends soin de dévorer ses courbes avant de me perdre dans son intimité. Parfaitement épilée, elle est aussi réactive aux coups de langue sur son bel abricot. Sans quitter ma dégustation j’ai pu parcourir ses jambes avec des caresses appuyées, jusqu’à ses seins. Les ayant empoignés, je me mis à la dévorer avec ardeur jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme - Pour qui aime les femmes, que cet instant est vibrant : elle mouille d’autant plus, sa respiration laisse place à des petits spasmes, son bassin et ses cuisses vibrent tous seuls, des rougeurs la prennent sur le cou, s’en suivent quelques longues secondes d’absence…
Je remonte l’embrasser dans le cou, elle sourit. Nous reprenons notre étreinte. Cette fois c’est elle qui me place sur le dos avant de redescendre prendre mon intimité en bouche. Dans le miroir horizontal je peux admirer la scène. Elle se penche pour attraper un préservatif, j’en profite pour embrasser une dernière fois son intimité en saisissant ses fesses à pleines mains. Très appliquée, elle m’installe la protection avec sa bouche puis vient se planter sur moi tout en douceur. Ah, enfin !!! Je me sens enfin m’enfoncer dans cette chaude intimité purement féminine. Coquine, elle me donne des petits coups de langue sur le visage tout en ondulant du bassin. Sous le coup de l’excitation je sens que je ne vais pas tenir longtemps. La belle me fait rendre les armes assez vite, enlacé de tendresse. Que c’est bon…
Nous passerons le quart d’heure restant à papoter. Elle m’explique à quoi ressemble le mode de vie typique d’une oursonne puis m’interroge sur le Cap d’Agde – « C’est vrai que là-bas les gens sont tous nus et font l’amour partout ? ». Je n’en sais rien… La destination la tente en tout cas. Nous nous quittons là. Elle me donne une serviette propre pour la douche puis me fait une bise avant de s’en aller.