je vais tenter de vous raconter ma "very first time in a pouf" comme me l'a demandé si joliment la belle Vicky.

Mon regard s'arrête sur la dernière, je ne connaitrai son nom que bien plus tard. Elle a un visage que je trouve d'une rare beauté. Je tend mes main vers elle. Elle me sourit d'un sourire qui aurait fait bander pépé, paix à son âme.
Dans les escaliers je me permets de reluquer. Oui je sais c'est malpoli. J'avoue une certaine déception. Son corps n'est pas a l'image de son visage. Elle me demande si je spreche deutsch, je lui repond english, elle aussi, quelle chance, je voulais justement reviser le vocabulaire du cul.

Ma belle s'approche et me demande ce que je veux. "Une crème brulée et un café siouplé". La question qui tue, j'ai pas revisé. Ma bite (qui était en train de danser la techno) me dit "2 coups, 2 coups j'en peux plus là". Devinez qui a eu le dernier mot...
Money.
Elle s'en va et me demande de "wash your hand and your penis". Si le ridicule tuait... Sur la pointe des pieds en train de me laver le machin dans un lavabo trop petit. Atroce. En plus il est trop haut leur truc. Je fais quand même 1,82 et je suis obligé de me contorsionner.
Fini le nettoyage je m'assois en caleçon sur le fauteuil a dispo. Et là bizarrement je fais le lien avec une attente médicale. Elle va revenir avec des outils et m'arracher une dent. Je stresse sauf ma bite qui dresse fièrement et me fait comprendre que ce stress est en fait un vrai état d'excitation. La bête est lâchée.

Elle revient. Je lui avoue enfin que c'est ma première fois. "it's your very first Time in a pouf !?" "yes Madame". J'attendais un rire moqueur j'ai eu droit à de la fierté et même de la bienveillance. Elle m'a fait comprendre que je ne regretterai pas d'etre venu.
Elle enléve ce qui lui reste de vêtements, et s'approche de moi, m'embrasse. Je n'ai pas touché d'autres lèvres depuis 11 ans. J'ai un mouvement de recul, puis j'accepte, je participe et je fond sur cette bouche. Elle est délicieuse.
La phase érotique conclue rapidement mais superbement on passe par la phase pornographique. Elle a compris qu'il fallait s'occuper de ce bleu et c'est exquis. Bonne conscience est blottie au fond de ce qui me reste de lucidité pendant que je suis dans sa douce bouche, 11 ans que je n'ai pas vécu cet art de la pipe, tout mon être est en transe sexuel et je reprends le dessus, en bon mâle dominant. ça dure le temps qu'il faut, elle attrape les barres du lit et qui couine en coeur avec ma dulciné du quart d'heure. Couinements fortement bien effectués ma foi, j'en prends du plaisir à l'écouter.
Echange "social time" ou elle me félicite ! quelle bonheur, même si elle est payée pour ça, j'en prends pour ma virilité qui ne demande que ça. Elle me caresse en me parlant de sa pologne natale, de sa fille , et m'interroge a mon tour avec cette douceur qui la caractérise avant de repasser aussi sec à la pornographie après avoir constaté que ma virilité en redemandait. Pendant ce deuxième acte buccal, je lui demande son prénom, étonnée que je lui demande, elle me répond Vicky. Elle se serait appelé Micky, si elle n'avait pas levé la tête.
Je termine en prenant le temps de déguster l'extase de ces quelques minutes.
Destressé je repars serein, elle m'embrasse, me demande comment c'était, je lui répond "great". Elle est contente, elle a bien bossé.