Etant par hasard de passage sur Irun semaine dernière, je me suis dit qu'il serait fort urbain de ma part d'aller souhaiter la bonne année au personnel de ces charmants pisos dont nous parlons tant.
C'est donc avec un coeur léger et plein de bons sentiments que j'ai commencé par l'Esther Relax, vu qu'il n'y a pas eu de commentaires depuis longtemps et que la situation a peut être évolué.
J'y suis allé vers 16H30. Deux chicas d'origine sud-américaine sont présentes :
- une moche enrobée au regard bovin dont je n'ai même pas entendu le son de la voix.
- une sismiquement secouable (corps pas mal, tête très très moyenne) qui se prénomme Maria.
Mon éducation judéo-chrétienne me poussant instinctivement vers la deuxième, je lui demande les tarifs syndicaux pratiqués. Ne parlant pas un mot d'espagnol, j'ai dû mimer :
- mouvement du puits du Shifumi devant la bouche en aller-retour plus tapotage du pubis de la donzelle : 60€ la media, 100€ l'heure
- tapotage du culo de la princesse : 300€ l'heure, impossible en media
- tête déconfite avec air surpris : impossible de négocier
- mouvement latéral de la main ouverte en aller-retour : elle ne m'a même pas dit au-revoir.
Bref, j'ai foncé rue San Marzial ... (la suite par là-bas)