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J'ai rencontré cette belle jeune femme de façon involontaire car j'avais booké une certaine Monika dont la frimousse m'inspirait fortement. Je ne reviendrai pas sur ce point qui a fait l'objet d'une discussion distincte.
Le quiproquo donna lieu à une discussion assez soutenue. De prime abord son physique assez éloigné ne me sembla pas de nature à constituer une compensation suffisante à l'indélicatesse que j'avais subi et elle m'indiqua gentiment que, n'y étant pour rien, elle comprendrait que je m'en fusse.
A vrai dire, je n'en crus pas un mot mais je notai immédiatement qu'elle possédait de très jolis yeux d'un bleu limpide, évocateur, comme il se doit chez une balte, des glaces septentrionales.
Elle m'avait reçu dans une veste trois-quart en laine à maille assez large (de toutes façons, je n'avais pas été assez naïf pour exiger un dress code). La veste lui tenait lieu de robe, dévoilant de magnifiques jambes, et la largeur de la maille laissait deviner une très jolie poitrine. Bien que son regard fût de type nordique, le hâle de sa peau était couleur de miel.
Ces éléments m'apparurent insensiblement tandis que je discutais avec elle pour savoir si je devais rester ou partir, mais étant extrêmement déçu, je lui fis d'abord la leçon, sans agressivité mais fermement.
Je ne pourrais rendre un compte exact des détours de cette conversation car je déballai quelques considérations assez fournies et argumentées sur l'éternelle tromperie qui régit le sort de l'être humain en général, celui des relations tarifées plus encore, et tout particulièrement celle qui détermine la qualité des annonces de sites comme escortplius et 6-annonce.
Très fine mouche, l'accorte demoiselle se garda bien d'argumenter et laissa passer le gros de l'orage, tout en m'adressant quelques compliments sur ma maîtrise de l'Anglais. Elle sembla même partager certaines de mes considérations désabusées et exprima quelque surprise face à l'étendue de mon expérience de l'âme humaine. Ce ne furent pas les mots qu'elle employa, bien sur, car si ces tournures échappent déjà aux jeunes générations lorsqu'il s'agit de les exprimer dans leur langue maternelle, elles leur sont d'autant plus inaccessibles dans une autre qui leur est étrangère. Au lieu de cela, elle ouvrit légèrement ses grands yeux bleus et juvéniles et me complimenta sur ma clairvoyance d'une façon suffisamment dosée pour ne pas activer mon détecteur à flatterie.
Dans le même temps, les signaux relatifs à son physique commencèrent à atteindre certains centres nerveux dédiés à la sensibilité érotique qui s'activèrent insensiblement, se mettant à émettre de nombreux messages destinés aux zones relatives à la prise de décision, avec une intensité telle que la saturation devenait tout à coup envisageable. Aujourd'hui encore, en y pensant, ma capacité à déglutir semble soudainement compromise tandis qu'un léger vertige nait dans mes jambes, depuis mes pieds jusque vers l'intérieur de mes cuisses, sensation qui précède la chair-de-poule et le doux plaisir de l'abandon à la caresse.
Mais il en fallait plus pour mettre en pause les griefs qui me tiraillaient, et je ramenai sur le tapis mon amertume contre ces méchantes illusions que font naître en nous les webmasters dévoyés et le cynisme des agences.
Passe encore que Photoshop gomme quelques détails disgracieux ou confère un grain de peau inaccessible, même aux épilations les plus pointilleuses. Peu importe les subtils éclairages, maniés par la main experte des photographes, qui nimbent les visages et les corps d'une aura douce et harmonieuse qu'on ne trouve en réalité qu'aux heures tardives de l'après-midi.
Mais les gens ont ils si peu d'importance, sont ils si interchangeables que leur réalité ne soit qu'une simple plaisanterie, répétée avec un mauvais goût inlassable au détriment du pékin qui doit abdiquer toute forme de choix pour accéder au plaisir? Le monde nous assigne déjà notre place et notre comportement par les déterminismes et les règles de la société des primates capitalistes, faut-il encore que, jusque dans nos transgressions, nous soyons des poulets en batterie? J'avoue qu'une réponse affirmative à cette question m'épargnerait de nombreux kilomètres, du temps et, dans la mesure où mon système hormonal peut avoir ses exigences, me pousserait vers d'autres horizons féminins bien moins coûteux.
Dans la discussion, j'avais invoqué les pages litigieuses concernant Monika et Diana m'expliqua que son profil était voisin et consultable, ce que j'entrepris de vérifier immédiatement. Ce faisant, je constatai que les prestations qu'elle proposait étaient similaires à celles de Monika et je lui demandai de confirmer, elle opina.
Avec une certaine hypocrisie que je déguisai en délicatesse, je lui déclarai que j'étais très intéressé par le french kiss.
En réalité, si j'adore mordiller les lèvres de ma partenaire puis, glissant ma langue entre celles-ci, venir l'appuyer contre la sienne tandis que la paume de ma main vient caresser sa nuque à l'endroit où les cheveux prennent racine, il est d'autres gestes qui invoquent plus surement la volupté et l'exultation de la chair, comme lorsque les corps se renversent et que les bouches, au lieu de s'étreindre, donnent aux sexes un moite baiser dédicacé à la jouissance plutôt qu'à l'étreinte. Mais l'hypocrisie est parfois une vertu au moment où les contrats se nouent car, si les termes sont clairs, chacun sait ce qu'il donnera ou recevra sans avoir à justifier ni à demander pourquoi il le donnera ou le recevra.
Je pris encore la précaution de lui demander quel temps elle m'accorderait car notre marchandage avait duré un moment et je ne voulais pas me trouver expulsé par un rendez-vous déjà fixé. Elle me répondit qu'elle avait le temps et qu'elle n'aimait pas enchainer les clients.
Quelques instants plus tard, je sortais de la douche et m'allongeais sur le lit, encore ceinturé de ma serviette de bain.

Lorsqu'elle défit la veste de laine blanche et vint s'agenouiller sur mon flanc, encore chaussée d'escarpins lascifs en peau noire et pourvus de longs talons-aiguilles, je constatai qu'elle avait une poitrine évoquant délicieusement une forme de poire que j'entrepris de goûter immédiatement en appliquant ma langue sur ses mamelons à la teinte caramel, alors que j'étais encore à demi-allongé sur le dos. Je me laissai retomber un instant pour contempler son corps svelte et gracieux tandis qu'elle esquissait un mouvement de danse qui me fit comprendre immédiatement le personnage de Salomé.
Nous avions peu avant parlé de musique et il s'avéra que nous avions tout deux cette manie en commun, mais elle m'avoua pratiquer également la danse depuis longtemps. J'avoue que je fus alors subitement envouté par le galbe et la souplesse de ses hanches, la finesse de sa taille et la rondeur de son petit cul, coquin et tonique à souhait.
Je la laissai alors se pencher sur moi et avaler mon sexe tendu de toute l'énergie dont j'étais capable et, pendant qu'elle le lubrifiait de sa salive pour mieux le caresser, je lui enjoignis de cracher sur ma verge, en proie à une frénésie momentanée de sécrétions, d'humidité, de viscosité, accompagnant le spectacle de ses lèvres pulpeuses affairées autour de ma virilité. Mes mains affolées parcoururent avec fièvre tout son corps, caressant les seins et le ventre, malaxant les fesses et s'insinuant, tout à coup délicates, aux portes de son sexe glissant et tiède.
J'eus alors le désir de l'embrasser goulûment en saisissant ses cheveux pour imprimer à sa tête un mouvement de cambrure m'offrant sa bouche avec plus de soumission. Notre étreinte se fit tour à tour farouche et tendre.
Je ne sais plus à quel moment sa culotte avait disparu mais la finesse de son ventre s'imposa à moi comme une perfection plastique et, faisant glisser mes mains le long de ses reins puis de ses fesses, je posai ma langue sur son bouton floral, entreprenant de lui rendre un hommage empreint de dévotion, tandis que ses cuisses s'écartaient et que, de son côté, elle me gardait en bouche avec obstination.
N'y tenant plus, sentant monter en moi le spasme conclusif, je m'agenouillai au bord du lit entre ses cuisses et cherchai sous ma langue la rondeur enfouie, variant les caresses buccales afin de procurer à ma partenaire une avance sur ma propre recette. Mais la sincérité me commande de reconnaître que je n'obtins rien de concluant, sans savoir si mes oreilles ne surent entendre ou ma langue sentir, ni s'il y eut vraiment quelque chose à déceler. J'effectuai les manœuvres d'usage mais il semble que le résultat m'était interdit. Et je n'étais pas dans la situation d'engager un débat relatif aux tenants et aux aboutissants de l'orgasme féminin.
L'heure de l'allégresse ayant sonné à mon clocher, je me plaçai debout près du lit et l'attirai à moi, caressant ses cheveux tandis qu'elle s'agenouillait et continuait sa fellation avec zèle et délicatesse.
Elle me demanda si je voulais utiliser un préservatif mais je décidai d'avoir recours à la prestation répertoriée sous l'intitulé C.I.M., expressément mentionnée dans les CGU, à l'alinéa 12 du paragraphe 4 et à la RFC 2070 internationalisant l'usage d'HTML. A la suite de quoi, m'inspirant des meilleures scènes de l'école du réalisme poétique dorcélien, je m'abandonnai au plaisir en m'aidant de ma main tandis qu'elle se tenait bouche ouverte.

Après lui avoir indiqué la salle de bain, car si ma vieille fine n'a aucun dépôt il n'entre pas dans mes intentions d'offrir à boire à des jeunes filles durant leurs heures de travail, je m'y rendis à sa suite et procédai à quelques ablutions rituelles pour me purifier de tant de stupre et de fornication.
Puis je retournai m'allonger sur le lit.
Mes espoirs furent vains, le visage de Diana s'assombrit quelque peu, si bien que je l'interrogeai sur la cause de ses soucis.
Encore une fois, elle sut faire appel à mon orgueil démesuré, arguant que je lisais dans les pensées.
Il est possible qu'un certain nombre de bovidés que la roue du Samsara a réincarnés en humains sans les doter de l'intégralité des moyens cognitifs relatifs à l'espèce soient totalement insensibles à toute forme d'allusion mais, pour des gens comme moi, qui relèvent simplement de la connerie ordinaire la plus communément partagée, la réception de ce type de signal, équivalent à l'allumage d'une lanterne de phare maritime à une distance de quinze mètres, signifie généralement que non seulement il n'y aura pas de deuxième round, mais qu'il faudra encore rester sport et s'abstenir d'invoquer le droit romain, qui de toutes façon ne s'appliquait pas dans les relations avec les hyperboréens.
J'émis quelques réserves pour la forme. Je dois dire que j'eus aussi l'occasion de préciser quelques détails techniques relatifs au french kiss, car fin de partie ne voulut pas dire expulsion sans préavis.
Je fis valoir que sa technique du baiser était perfectible car elle avait une façon d'embrasser consistant un peu trop à ouvrir démesurément la bouche, attendant que son partenaire s'y précipite sur un mode spéléologique.
Me prévalant de ma qualité de français, je déclarai à la jeune lettone que j'étais naturellement détenteur d'une certaine expertise en cette matière et lui enseignai l'art de trousser délicatement les langues.
Son hommage fut, cette fois, sincère car apparemment on peut, dans les pays baltes, mener une carrière horizontale de luronne intrépide sans avoir obtenu les qualifications élémentaires requises sous nos latitudes en matière de flirt. Mais soucieuse de sa certification GFE, Diana s'enquit du tout avec conscience professionnelle.
Elle me vira cependant, prétextant qu'elle avait promis à sa copine logée dans une chambre voisine d'aller faire les soldes à Aix et, surtout, qu'elle me traiterait mieux lorsqu'elle reviendrait dans quelque temps.
Je fis mine de la croire mais insistai pour qu'elle me laisse un mail, sans quoi je conclurais immanquablement qu'elle m'avait pris pour une bille. Elle me laissa une adresse bizarre, que je notai sans espoir réel et à laquelle j'écrivis le lendemain, comme convenu, pour m'assurer qu'elle était valide et lui donner la mienne en vue d'une prochaine rencontre.
Que croyez-vous qu'il arriva?


Bon, je vous laisse, je dois aller nettoyer mon écran avant que les circuits électriques ne soient atteints.