Salut La Compagnie
Après deux mails d’échange en anglais avec le boss d’Olga’s Angels je reçois 3 heures avant le RDV convenu, le numéro de la chambre de la miss.
L’hôtel se situe dans le 17 eme. Un nom d’oiseau sacré, d’origine égyptienne.
Intérieurement je me marre : J’y étais en réunion de boulot il y a quelques mois.
Comme je n’aime pas être à la bourre (quoi queue) , j’arrive 30 mn avant mon rencart et file au bar descendre une bière.
Je m’y attendais il faut une carte pour utiliser l’ascenseur, je repère l’escalier et m’y engouffre 10 mn avant l’heure convenue profitant de la présence devant la réception d’une nuée de scolaire italien.
Arrivé au 4e étage je poireaute sur le palier désert pour ne pas déambuler comme un con dans un couloir plus fréquenté. Que c’est bon de poireauter parfois.
16 h tapante je frappe à une porte qui s’ouvre rapidement. C’est bien la souris des photos, que le boss de chez Olga m’avait envoyées (à ma demande). Photos plus réalistes que celle du site.
À force de la regarder depuis huit jours en photo j’ai l’impression que nous nous connaissons (enfin surtout moi). Pas de dress-code demandé. Nata puisque c’est son nom de scène du moment, m’accueille dans une robe que je nommerai « robe chaussette » c’est-à-dire un tube de tissus gris bleu, pas moulant du tout, maintenue à une extrémité par un élastique sous les aisselles et par un autre élastique à mi-cuisse. Pas super-sexy mais pas vilain non plus. Une belle plante dans un sac à patate reste avant tout une belle plante. J’ai devant moi une fille de 1,75 m, 25/30 ans aux bras et épaules découverts, aux jambes dénudées, aux traits bien dessinés, souriante quoique un peu fatigué. J’apprécie à ce moment la facilité déconcertante qui m’est offerte d’envisager que cette jeunesse, qui ne me verrait pas dans la vraie vie, va s’offrir à mon plaisir…
250€ pour une heure c’est beaucoup et à la fois cela n’est rien.
Elle me retire aimablement ma veste qu’elle accroche sur un cintre dans la penderie, comme si j’allais rester là deux jours, m’invitant dans un anglais des plus sommaire à poursuivre en allant me doucher.
Je fini de me désaper dans la salle de bain, prend une douche rapide mais conforme à se qu’elle en attend et me repointe près de ma promise, une serviette autour de la taille.
Là je vois que c’est à son tour d’être impressionné……..non je déconne.
Ma fin de quarantaine n’impressionne personne, si ce n’est ma vieille belle-mère.
Je la laisse prendre l’initiative de la suite des opérations. Non, pas ma belle-mère, Nata bien sûr.
M’allongeant sur le lit, elle se présente à moi par le bas en m’embrassant le ventre, les tétons le cou et les lèvres. Recommençant à plusieurs reprises le même trajet parsemé de caresses buccales soutenu par l’effleurement de ses cheveux défait. La serviette valse et les baisers s’attardent sur Popaul (appelons le Popaul).
C’est plutôt agréable, je me laisse faire et une idée germe dans mon esprit « et si je lui ôtai cette chaussette ! ».
Bien m’en prend, une paire de lolo joliment tournées s’offre à mon regard lubrique et à mes mains du même métal. Des seins lourds juste ce qu’il faut des tétons proéminents qui crient au secours…..Hummm
Nous nous enlaçons plaisamment quelques minutes, enfin surtout moi, car la petite que je crois être mienne me fait rapidement comprendre en me refusant poliment un baiser à pleine bouche, que je suis un client et pas son boy-friend. Sentiment confirmé quand, lui embrasant le lobe de l’oreille, un recul franc me fait comprendre qu’elle fait attention à ne pas se laisser aller par la trahison d’un frisson. Idem pour la pointe de ses seins qu’elle ne souhaite pas voir trop titiller ; quel gâchis.
Je suis prévenu. Nata préfère les mélodies en sous-sol, je ne m’y oppose pas et c’est à ce moment que l’expression aller au pieu prend tout son sens : le mien est dans sa bouche.
Je suis venu (un peu) beaucoup pour ça : me faire sucer longuement et avec application et je dois avouer que Nata n’est pas une feignasse elle s’applique durant de longues minutes à sa besogne dans les différentes positions que je lui suggère. Pas de DP malheureusement, mais sa jolie bouille à l’extrémité de mon gland m’apporte néanmoins une satisfaction pleine et entière. Instinctivement elle a compris qu’avant tout, mon souhait est de jouir dans sa bouche. Je ne m’en prive pas. Je lui donne tout mon suc qu’elle réceptionne sans moufter. La cocotte doit en avoir une bonne dose dans le bec. Elle est là devant moi attendant gentiment que je termine, pas une goutte de perdu, la belle quitte le(s) pieu(x) pour la salle d’eau ou mon offrande disparaît dans une canalisation. (À moins qu’en douce elle ne l’ai avalé) . A son retour je lui offre un massage du dos et des cuisses sans oublié la zone située entre les deux. Ma gentillesse n’ayant pas de limite je l’invite ensuite à visiter notre beau pays, en commençant pas le département du Rhône. Je suis pour ma part plutôt au bord de la mer, un parfum iodé de marée l’atteste. Sa petite moule est des plus fréquentable agréablement parfumé, aucune date de péremption à l’horizon et ce pour un bon moment, mais visiblement mon incursion dans sa vallée ne l’émeut pas : dommage : pour nous deux, il est clair à présent que je prendrais mon pied tout seul. Mes successeurs auront je l’espère plus de succès.
Popaul enfile un ciré, et les positions s’enchaînent sans beaucoup d’enthousiasme de part et d’autre je l’avoue, le spectacle de ce jeune corps reste heureusement source de plaisir.
Puisqu’elle sans fout je décide, en pur égoïste de consacrer la fin de notre rendez-vous à me faire pomper et branler méthodiquement, Nata m’étonne alors par son endurance et son énergie. Dix bonne minutes plus tard je commence à avoir la tige rubiconde et les baloches qui vont finir en maracas. Une dernière offrande et l’heure est passé. Re douche, la bise et Ciao.
Vous l’aurez compris une fille bien jolie, une belle poitrine naturelle, des fesses comme il faut, accueil agréable, fille souriante, bonne voire très bonne suceuse. Quelques kilos en plus ne nuiraient aucunement.
A vous les suivants de déloger son grain de folie pour que ce soit parfait.
Pour ma part je descend par l’ascenceur, je suis de retour dans la vraie vie……….jusqu’à la prochaine fois