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Youppie webcam confinement        

Discussion : Chro-niques hédonistes:

  1. #


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    mai 2009
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    32

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    Je suis jaloux de toi pour tes expériences.
    Moi je n'ai eu que ma femme (presque) pendant toute ma jeunesse, là j'ai envie de connaître autres choses (femmes je veux dire) et leurs différentes façon d'y faire...
    Merci pour tes récits agréables et excitantes.

  2. #


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    juin 2010
    Localisation
    Woluwé
    Messages
    225

    Par défaut

    Sympa de nous faire partager ton expérience...très agréable lecture...

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  1. #


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    mars 2011
    Messages
    57

    Par défaut Chro-niques hédonistes:

    Avant-propos :

    J’ai toujours adoré écrire… Mais c’est la première fois que je parle réellement de moi et j’avoue que cela stimule ma plume !

    Durant toute ma courte vie je n’ai cessé de cultiver la passion avec un acharnement presque maladif… J’ai aimé, j’ai pleuré, j’ai ris, j’ai fait l’amour et j’ai baisé. Ma vision du sexe est simple: la femme est l’être le plus sublime qui soit mais aussi le plus perfide ! Cela étant, ne lisez jamais un seul de mes mots en croyant que je peux avoir un soupçon de rancune ou d’irrespect envers elles, car malgré toutes les incompréhensions que les deux sexes peuvent avoir, il y a un magnifique moment où les corps se rejoignent et où la beauté de la nature surpasse la laideur de l’être humain… Et c’est grâce à elles ! A mon sens, aussi pervers soit-il, le sexe sera toujours beau tant qu’il est consenti, cela va sans dire !

    Ce que j’écris ici parle de toutes ces déesses qui m’ont permis de faire mes quatre voluptés dans leur cartier de noblesse, comme dirait Brassens ^^. Chaque chapitre que je vais écrire parle d’une expérience qu’elles m’ont apporté, en bien ou en mal, et que j’ai décidé de partager avec vous.

    Avant de commencer, et afin de préserver au mieux leur intimité (car j’avoue avoir fait des cocus), je me permets de signaler que chaque chapitre portera le nom d’une fleure, d’un animal ou que sais je encore qui symbolise, pour moi, au mieux la dame dont je n’écrirais pas le nom…

    Enfin, je vous remercie de prendre le temps de me lire, toutes critiques ou commentaires sur mes récits ou mon style sont plus que les bienvenus.



    Chapitre 1 : Sphinx.

    Dans bon nombre de croyance, le Sphinx est l’animal qui ouvre la voie nouvelle… Même si cela fait longtemps et que mes souvenirs ne sont plus d’une extrême précision, je trouve que ce serai dommage de ne pas parler de la première fois.

    Elle était plus âgée, ce qui n’est pas un mal car le stresse du puceau est loin d’être un mythe comme vous le savez tous, je suppose ! Elle avait un goût de sucre… C’était pour moi la première fois que je goutais au vagin d’une femme et quand j’y repense, je ne crois pas avoir pu percevoir ce goût sucré chez une autre de mes maîtresses… Elle mangeait pas mal de sucrerie, ceci expliquant peut-être cela, mais j’en doute ! La première fois qu’on pénètre dans le plus sacré des endroits, l’émotion submerge tout le reste… C’est assez dommage car on ne prend pas le temps d’apprécier ce qui se passe, on s’oblige à ne pas venir, torturés que nous sommes par tous ces stéréotypes prônant la performance et mystifiant certains hommes pour le simple fait qu’ils sont montés comme des ânes… Quand j’y repense, j’étais presque totalement concentré sur moi et sur le fait de ne pas craquer, venant même à compter les secondes pour me rassurer (et je sais que je suis loin d’être le seul ! ^^).

    Une première fois tout ce qu’il y a de plus bateau qui, l’âge et l’expérience se faisant doucement mais sûrement, me désole encore quand je songe à tous ces clichés qui me bloquaient jadis et qui bloque encore et à jamais des milliers de personne dans l’acte qui devrait être le plus naturel et le moins superficiel qui soit.

    Je suis resté pas mal de temps avec elle, si bien qu’un jour, vint la découverte de la première sodomie. A cet égard, je me permets de tordre le cou à un vieux stéréotype disant que c’est un grand fantasme uniquement masculin, car il y en a plus d’une qui sont intéressées par la chose et même qui en redemande… Cela étant, la chose doit se faire dans l’entente mutuelle la plus absolue et, fort heureusement pour moi, les débats avant de passer à l’acte n’ont pas manqué car une fille stressée est très difficile d’accès et ne ressentira, la plupart du temps, aucun plaisir… Ce qui est dommage !



    Chapitre 2 : Chocolat.

    Tant que je suis dans la sodomie ou autre acte impliquant l’anus, restons y ! Je fais maintenant un bond de plusieurs années pour vous parler d’une charmante créature qui allait jusqu’à refuser la pénétration normale tant la sodomie la faisant grimper aux rideaux (oui, ca existe). Alors que j’étais en elle, je ne pouvais m’empêcher de scruter son regard de braise et ses cuisses bien fermes… Son charme exotique et son petit accent brésilien se percevant même jusqu’au moindre de ses soupires.

    A cet égard, je me permets de relever certaines choses très intéressantes pour celles (ou même ceux) qui se verraient tentés par la sodomie et que cette sulfureuse créature m’a gracieusement enseignées : même si l’hygiène est impeccable, on craint toujours qu’un peu de dépôt (vous voyez ce que je veux dire par là…) ne se retrouve sur le pénis et c’est, d’ailleurs, très souvent ce qui bloque la fille à entreprendre l’aventure. Deuxième peur courante est celle de l’odeur qui pourrait survenir pendant l’acte. Pour ces deux peurs, j’ai la salvation : apprenez que cette bonne âme se lavait en préalable à l’aide d’une poire à lavement et qu’elle y mettait un soupçon de savon prévu pour cet effet, ce qui protège de toutes mauvaises surprises et qui répand un très léger parfum des plus excitants…

    Venons en maintenant au deuxième tabou anal : l’anulingus ! J’ai longtemps entendu mes pots se plaindre, trouver cela dégoutant ou que sais-je… Ma foi, depuis miss Chocolat, plus rien ne m’arrête et j’invite même mes confrères à tenter la chose qui se couple fort bien avec son frère le cunilingus, si la dame est d’accord évidement…



    Chapitre 3 : Sirène.

    Cette histoire date d’un peu plus de deux ans, j’étais parti en Tunisie dans l’espoir de faire de la moto dans les dunes et me suis arrêté quelques jours dans un club pour touriste tout ce qu’il y a de plus normal de ces pays fort touristiques… Le soleil, les cocktails et la piscine aidant, je fis la connaissance d’une plantureuse allemande qui se prit d’affection pour moi. Bien que je ne maîtrise pas la langue de Goethe, je sus me vendre assez pour que la nuit même nous nous vîmes seuls sur la plage…

    Cette fille était en tout point superbe et très vite ce qui étaient d’abord des baisés passionnés se changèrent en préliminaires de plus honteux ! Quand j’y repense… Je me dis que c’est vraiment dommage de l’avoir fait sur la plage car la fille en elle-même était géniale, mais le sable fin est un fléau !

    Sachez le, vous qui voulez tenter l’aventure… Ce n’est pas forcément une bonne idée de le faire à même le sable ! Pour moi ce fut une expérience navrante, d’autant plus que la fille était super…



    Chapitre 4 : Déchéance.

    Ce chapitre est un peu spécial car il ne parle pas forcément d’une seule fille mais plutôt de filles avec qui j’ai eu des rapports dans des états d’alcoolémie avancée… Ce qui ne retire en rien à la saveur de la chose…

    Il convient, avant tout autre chose, de signaler que je suis liégeois et si ma belle citée ce nomme « la citée ardente »… Ce n’est pas pour rien ! En effet, nous disposons d’un très intéressant cartier, nommé subtilement « le carré », du à sa forme, qui propose un nombre astronomique de bars au mètre carré ! Ainsi, il arrive souvent que lors des petites heures de la nuit, les corps s’échauffent jusqu’à passer à l’acte. A ce moment, une question s’impose : où aller lorsque vos facultés intellectuelles sont réduites à l’état de moule et que la dame vous presse à choisir un endroit ou exploser sa volupté ?

    La réponse n’est pas simple et va certainement variée en fonction de l’âge et des gouts de la personne, mais ayant une certaine expérience de la chose, je peux ainsi vous dire ceci : si vous êtes, comme moi, jeune et que vous n’avez pas froid aux yeux, certains bars disposent de toilettes tout à fait acceptables ! Ainsi, le Soleil propose un espace réduit, mais tranquille tandis que le Far West vous proposera un plus grand espace mais pas tranquille du tout ! Les meilleurs toilettes du carré étant, à mon sens, celles du Tam Tam qui sont grandes, propres et spacieuses mais où vous pouvez quand même risquer de vous faire repérer et, à mon sens les plus sûres, celle du Smile, qui est un bar dont la fréquentation est, certes, incertaine mais où les toilettes sont propres, d’une taille respectable et où on vous foutra une paix royale. D’autres toilettes non loin du carré répondent également à ces critères comme, par exemple, Aux Fous d’En Face… Le reste, j’attends vos commentaires, je n’en ai pas testé d’autres ! (pas encore…) Si l’appel de la nuit et du grand air se fait ressentir, Liège est truffée de petites rues où personne ne passe et si l’âge ou le porte monnaie est plus élevé et que le champagne vous monte à la tête (car il y a aussi des bars plus chics dans le carré), l’hôtel Mercure n’est qu’a 100 mètres !

    Remarquez également que le carré compte à lui seul deux excellents endroits (enfin, c’est ce qu’on m’a dit) pour les homosexuelles, à savoir le Spartacus et le Moustache Club… Pour plus d’info je vous renvois aux topics sur les clubs échangistes…



    Chapitre 5 : Les inséparables.

    Connaissez vous ses oiseaux chanteurs qui ne vivent qu’à deux et qui dépérissent si on vient à les séparer l’un de l’autre ? Et bien j’ai fais la connaissance de deux amies ayant les mêmes caractéristiques, allant jusqu’à partager leurs amants… Une chance pour moi de découvrir un grand fantasme : le plan à trois.

    Pour être honnête, cette expérience ne fut pas géniale. Maintenant, je n’accuse pas forcément le plan à trois dans son ensemble mais plutôt ma sale manie de toujours vouloir donner énormément de plaisir sans pour autant recevoir… Ce qui pose un large problème lorsque les deux partenaires ne sont pas lesbiennes et ne se font rien mis à part quelques attouchements mineurs car, auquel cas, tout le travail c’est pour bibi ! La chose n’est pas dérangeante, mais éprouvante car je n’ai eu de cesse de faire attention à ce qu’aucune des deux ne se sentent mise à l’écart par rapport à l’autre ce qui, au final, a pas mal pris sur mon plaisir…

    Ami donneur, je vous donne donc ce petit conseil : le plan à trois, c’est très bien, mais assurez vous de le faire avec les bonnes personnes !



    Chapitre 6 : à poil !

    Je vais maintenant m’attaquer à un autre problème de taille : le poil ! Ayant des ascendants venus tout droit des pays nordiques, j’avoue avoir le torse poilu, les jambes poilues et, si je laissais faire ces envahisseurs capillaires, le dos poilu ! La chose ne me gène pas en soi mais elle en gène énormément. Aussi, je me rase régulièrement et ai pris une séance d’épilation laser pour mon dos… Mais d’où vient cette haine du poil ? Haine relativement nouvelle car, si on chasse l’ours depuis des centaines d’années, les poils (je ne parle pas de Choubaka, je parle de simple poil) repoussent de plus en plus de dames… La question peut faire polémique.

    Et pour vous mesdames ? J’ai souvenir d’une créature particulièrement somptueuse, peut être même celle qui avait les plus belles formes et le plus beaux corps de toutes mes maitresses, qui s’avéra être une fille particulièrement poilue au niveau pubien… Alors qu’en penser ?

    Pour ma part, quand je regardais son sourire qui pourrait faire fondre un radiateur, ses seins lourds et fermes, quand je touchais sa beau si douce, lorsque son parfum d’orange enflammait mes sens et que, passionnément, je la prenais tout en griffant légèrement sa courbe de reins, suffisante à elle seule pour damner tous les saints du paradis… J’avoue ne pas me soucier beaucoup de ses poils, bien qu’ils me touchaient à chaque va et vient. Cela étant, après avoir discuté avec moult amies et maitresses, je constate que le poil, même très bien entretenu fait rarement la part belle de cette nouvelle génération qu’est la mienne. Par contre, lorsqu’on se dirige vers un public plus âgé, je remarque avec plaisir qu’elles (même si le « elles » est un peu fort, n’ayant pas couché avec beaucoup de femmes ayant plus de 10 ans de plus que moi) assument plus leur coté sauvage en laissant pour le plaisir des yeux, quelques poils finement taillés…

    Je ne sais pas vous, mais je n’ai rien contre les poils mis à part une chose, et j’aimerai voir si je suis le seul ou pas : étant un inconditionnel du cunilingus, j’avoue que les poils me chatouillent parfois le nez, ce qui peut être gênant et donner envie d’éternuer…




    Je vais en finir là avec mes pérégrinations… J’espère que la lecture ne vous a pas été trop pesante, si j’ai des échos favorables, je ne tarderai pas à combler cette chronique avec foison d’autres chapitres !

    Avec toute mon amitié.
    F.

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