Vers 18h30, je me pointe au Piso de l'Avenida Gipuzkoa au n°26
Avis d'ailleurs à un GM (gentil modo) pour scinder ou renommer le fil
Les adresses variant dans leur orthographe et leur libellé, je confirme que c'est bien là grâce à l'indication de papacam18 (merci) sur la sonnette entourée en rouge.
J'y pose fébrilement mon doigt. Je baragouine un peu l'espagnol mais j'ai toujours la hantise de devoir soutenir une conversation à distance (téléphone ou interphone en l'occurrence). On m'interpelle, ce à quoi je réponds basiquement "holà...?" , et oh sésame ouvre-toi, je suis dedans.
Là encore un mauvais souvenir de Barcelone (où j'avais sonné à plusieurs appart avant de trouver le bon étage puis le bon lettrage) me donne une petite boule au ventre mais tout est parfaitement indiqué: je monte les demi-étages jusqu'à voir "2" puis je cherche la bonne lettre (à gauche en montant, puis porte de droite pour donner des indices!).
Une grosse dame m'ouvre et m'indique qu'il n'y a personne de dispo
Je l'interroge sur Soraya (merci l'EV de jeanbal) mais elle est en vacances. Une seule de dispo (Angie) dans une vingtaine de minutes. Je lui dit que je vais faire un tour.
(...)
Je me redirige vers le piso et là un char d'assaut m'ouvre la porte (un peu moins panzer que la mamasan mais pas du tout dans ma catégorie de gabarit ni d'âge, malgré une poitrine que je devine joueuse sous la nuisette ).
Elle m'accompagne directement vers la chambre, pensant l'affaire entendue. Je m'en suis sorti en la questionnant sur le fait qu'il n'y ait pas d'autres filles (alors que je savais pertinemment que non!). La mamasan affalée sur un autre lit devant son ordi me dit que demain il y en aurait 3.
Je décline poliment, je sors