Bizzare ???? ou as t elle donc travailler a 17 ANS CETTE FILLE ????????????????????? NORD ECLAIR DU 23 AOUT 2011region mouscron CA NEST PAS CHEZ DODO LA SAUMURE OU ???
Bizzare ???? ou as t elle donc travailler a 17 ANS CETTE FILLE ????????????????????? NORD ECLAIR DU 23 AOUT 2011region mouscron CA NEST PAS CHEZ DODO LA SAUMURE OU ???
Les bars à champagne d'outre-Quiévrain, ce Roubaisien ...
de naissance les connaissait bien pour en avoir été un client assidu. Du coup, quand l'argent du ménage est venu à manquer après son licenciement fin 2008, il n'a guère hésité. Après le déménagement du couple dans un village de l'Amandinois, ce jeune homme d'aujourd'hui 24 ans a proposé à sa concubine - qui n'avait alors que 17 ans -, de faire commerce de ses charmes. « Au début, j'ai refusé », a-t-elle expliqué à la barre du tribunal, jeudi après-midi. Mais à force d'insistance, voire de quelques violences « surtout pendant la grossesse », et « par peur des représailles », la jeune femme a fini par se laisser « convaincre » et conduire par son homme dans un bar de Bernissart pour aller « travailler » et « arrondir les fins de mois ».
Puis, les activités de la jeune femme se sont « diversifiées », puisque son concubin lui a aussi proposé d'aller se présenter dans un salon de massage de Mouscron... aux activités annexes un peu spéciales et tout aussi lucratives. Finalement, l'activité de prostitution a duré de janvier 2009 au 14 janvier 2011, date à laquelle la jeune femme a décidé de quitter son ami, et choisi de mettre un terme à cette vie-là en allant voir les policiers belges.
À l'audience, le président Marissal a fait un rapide calcul, montrant que durant cette période, les gains pouvaient se monter à quelque 120 000 euros. « C'est presque le prix de la maison dont vous rêviez et dont vous n'avez jamais rien vu », a-t-il résumé à l'adresse de la jeune femme. De l'autre côté de la barre, le jeune homme - poursuivi donc pour proxénétisme et aide à la prostitution - a admis que cette activité leur (et surtout lui !) permettait de « vivre très largement, sans compter ». La procureure, Mme Alliot, a d'ailleurs mis en évidence que la victime n'avait pas été la principale bénéficière de ces rentrées d'argent. Elle a donc requis une peine qui ne soit « pas inférieure à quatre ans », et demandé l'indemnisation de la victime, qui s'était portée partie civile. Le tribunal a finalement condamné le jeune homme à trois ans de prison, dont un avec sursis. Les juges n'ont pas retenu la notion de préjudice économique, mais ont néanmoins fixé à 10 000 E le montant des dommages et intérêts pour la jeune femme. •
Lien :http://www.lavoixdunord.fr/Locales/V...-prostit.shtml