Betty, c’est un assortiment de macarons de chez Pierre Hermé : doux, moelleux et savoureux. C'est un mélange subtil et raffiné. Un régal pour les yeux, un délice pour les papilles. Les parfums (plaisirs) se succèdent en bouche les uns après les autres, du plus sucré au plus épicé. Voici ce que j’écrivais il y a un an. Je n’en change pas une ligne :
Betty reste pour moi l’expérience ultime. Sa douceur, sa sensualité, sa personnalité discrète, presque timide m’ont fait craquer dès notre première rencontre. Le petit ange ukrainien n’a pas son pareil pour vous embarquer dans une expérience câline. Elle vous entoure, vous enlace, vous sert tendrement entre ses griffes, vous dorlote pour vous transporter dans un océan de douceur.
Mais tout ceci n’est que hors-d’œuvre. En effet, une fois passer les longs préliminaires sur le sofa, nous partons nous isoler dans une chambre et là les choses sérieuses reprennent. Nous entamons alors un numéro de duettiste dont l’intensité monte crescendo pour se terminer dans les limbes du plaisir. On s’effleure, se caresse, se cajole, se chatouille, se suçote, se bisouille, se léchouille, se galoche, se croque, se dévore…
Volontiers cataloguée comme une reine de la GFE attitude, pour moi Betty, c’est beaucoup plus. Avec elle, ça peut aussi être très, très, très hard. Bien sûr, ce n’est dans un ersatz du dernier porno à la mode où tout est calibré, chronométré, millimétré, où il faut changer de position toutes les 30 secondes… Non, mais on peut quand même aller très, très loin dans la coquinerie... Si loin que les qualificatifs GFE ou PSE m’apparaissent dépassés, presque désuets. Vous l’aurez compris, elle me rend dingue. Ce n’est pas nouveau mais comme c’est encore meilleur à chaque fois, je ne suis pas près de m’en lasser.
Je sais, je suis agaçant avec mes Betty par ci, Betty part là... MAIS quelqu’un a-t-il déjà vécu une mauvaise expérience avec choupinette ?
le récit complet est ici :
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