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Discussion : Azerbaidjan

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    avril 2014
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    Je rentre d'un petit séjour en Azerbaïdjan (décidément j'arpente les pays peu courus pour le compte du forum), consacré essentiellement au tourisme (Bakou est une ville admirable), mais où j'ai eu à fréquenter par la bande notre noble sport.

    Les Azéries ne sont pas des Russes, ni des Arabes. Ils sont à la croisée des Turcs et des Perses. Leur type physique s'en ressent, et de nombreuses femmes recourent à la chirurgie esthétique à l'exemple des Turques et des Iraniennes, obtenant un visage « à la Slave », le nez retroussé, les yeux ouverts, les pommettes hautes, les lèvres gonflées et tendues, et un léger double menton. Beaucoup de femmes sont également vêtues de manière séduisante, non pas pour aguicher, mais par simple habitude dans un pays au climat méditerranéen (et à la végétation méditerranéenne d'ailleurs).

    Je séjournais dans un hôtel de luxe (le Fairmont), et voyais quelques-unes de ces femmes refaites, garnies aussi d'implants mammaires, accompagner de vieux messieurs de telle sorte qu'on ne pouvait douter de leur activité. J'avais, par prudence et pour éviter les surfacturations, réservé ma chambre pour deux personnes, et fait passer cela auprès de la réception pour une étourderie : le réceptionniste m'a répondu que je pourrais toujours me faire « des ami(e)s » (mot épicène en anglais) et leur faire partager les accès privilégiés (bar du 19ème étage) auxquels ma catégorie de chambre me donnait droit.

    J'ai d'abord entrepris d'écumer l'Internet. De tous les contacts que j'ai pris sur les principaux sites que sont EuroGirlsEscort, MassageRepublic, LoveHub et X-Baku, aucun n'a répondu. Un ensemble de profil d'Asiatiques qui avaient mis à jour récemment leur profil venaient, semble-t-il, de quitter le pays, sans laisser d'adresse ni de remplaçantes. Nombre de messages ont été remis (numéro donc toujours actif), voire lus, mais sans aucune réponse. Je n'ai finalement eu de retour que d'un seul profil, tiré de sites bien moins en vue : celui des annonces https://www.slavic-companions.com/in...all-girls/ayla et https://city-love-companions.com/escort/ayla-3.

    Et, pour 300 dollars, j'ai pu prendre dans mes mains ces seins magnifiques, et coller mes lèvres sur celles de ce doux visage. Deux heures, trois éjaculations. Soucieux de discrétion, je lui avais dit de monter à mon étage comme si elle était cliente de l'hôtel, mais elle m'a répondu être connue des réceptionnistes et des gardiens, car elle venait fréquemment ici : elle s'est donc simplement présentée à la réception, et m'a écrit d'appeler ladite réception pour confirmer que j'avais une invitée. Cet appel a été accueilli par mon interlocuteur sans le moindre état d'âme, et il ne m'en a jamais été reparlé par la suite. Ayla (un faux nom, elle m'a donné le vrai mais je ne l'ai pas compris car il est azéri et, de toute manière, je l'ai oublié) est arrivée en survêtements de toile, parfaitement à l'aise, déjà lavée et maquillée ; elle a pris son salaire, tiré les rideaux, et, tout en devisant en bon anglais, s'est mise nue et allongée dans le lit. Qu'elle était belle ! On peut objecter, bien sûr, à ce genre de beauté botoxée, mais il est délicieux pour l'égo de se taper de temps à autre une image vivante de bimbo pour milliardaires.

    Intelligente et gentille, au demeurant, déjà mariée, deux fois mère et divorcée à 27 ans, avec des idées bien arrêtées sur certaines choses dont nous avons discuté entre deux parties de sexe que je passais surtout le nez entre ses seins tandis qu'elle me masturbait agilement avant une saillie en missionnaire ou en levrette. Elle embrasse à pleine bouche et complimente le corps du client. Elle accepte de petite gifles sur les seins, sur les fesses et même sur les joues. Elle fournit ses préservatifs et les enfile à la main ou à la bouche. Dans l'étreinte, elle me serre dans ses bras et m'enferme entre ses jambes en haletant de façon charmante. Bref, on en a pour ses attentes et son argent. Elle se douche entre chaque giclée. La durée écoulée, elle se rhabille aussi naturellement qu'elle s'était déshabillée, et part dans un dernier baiser sans que la réception me demande de confirmer que tout va bien pour la laisser partir.

    D'autres profils auraient pu me répondre, si je les avais sollicités : ceux qui laissent des « stories » sur la fonction « carte » de Snapchat. Il faut toucher du doigt la zone géographique dont on désire voir la fréquentation par les utilisateurs : une bonne moitié des « stories » montrent des femmes (ainsi qu'ay moins un trans et un homme), visage visible ou non, avec un numéro de téléphone ou un nom de compte Snapchat qui dirige vers un compte tiers appartenant également à la prostituée et où son numéro apparaît. Je n'ai cependant pas contacté ces femmes, car je redoutais des tarifs très élevés et de possibles pièges policiers dans un pays où la prostitution est officiellement interdite.

    Je n'ai pas utilisé Tinder.

    Je ne me suis pas rendu à l'hôtel Hilton et ne peux donc pas confirmer la présence de prostituées à demeure ni préciser leurs tarifs. S'agissant des salons de massage, je suis allé en visiter quelques-uns, totalement au hasard et sans repérage préalable, et sans succès aussi. L'un, d'extérieur très pittoresque et rutilant (le Taze Bey), m'a rebuté par la négligence de son personnel, deux autres (l'un était le Bali Spa, l'autre j'ai oublié) m'ont indiqué être déjà complets pour la fin de la journée, et un dernier m'a proposé un massage conventionnel où la masseuse, une Turque, me couvrait de serviettes et n'a même pas accepté de me masser le ventre (moins encore les fesses et le pubis) car « nous avons des standards ».

    Je ne me suis pas rendu au bar irlandais Finnegan. J'ai marché en long et en large dans l'avenue Nizami et la place des Fontaines, mais n'y ai vu aucune fille ayant l'air d'être une professionnelle. La boîte de nuit « Extra Night Club », très excentrée par rapport à là où j'étais, semble héberger des prostituées, mais paraît surtout être un repaire d'arnaqueurs qui usent de tout, même des filles, pour soutirer de l'argent au touriste sexuel seul et mal initié. C'est apparemment un endroit où il faut aller en groupe, et accompagné de gens parlant la langue locale (ou le russe).

    Voilà. Tout cela ne fait pas grand-chose, mais cela reste une contribution à un pays injustement méconnu.

    Au plaisir !

  2. #


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    Citation Posté par navigant92 Voir le message
    Pour ceux de passage à Bakou, le bar 360, hôtel Hilton, il y a des travailleuses du sexe.
    J'ai pas pu tester, je n'étais pas seul.
    peux tu etre plus precis ?
    QUELS SONT LEUR TARIFS ,

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  1. #


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    BAKU

    BOITES DE NUIT

    L’ambiance à la boite de nuit 1033 de l’Hyatt Hotel commence vers 23H00. La clientèle est essentiellement faite d’expatriés travaillant dans le pétrole. Les filles sont d’Azerbaidjan ou de Russie et demandent 100€ pour 2H00 ou 200€ la nuit.

    Le Blackjack est plus dans le centre-ville près du Fountain Square. C’est également un repère d’expatriés, et les filles également de Russie ou d’Azerbaidjan. Ici, elles ne demandent que 30€/120min et 50€ la nuit. Il y a également un second Blackjack en ville.

    Essayez également Capital Disco dans l’hôtel flottant Kompass, il y a des chambres louées à l’heure ou encore la discothèque Tunnel au Grand Europe Hôte.

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