Discussion : VERONIQUE

[WakeNfun]

A Taunusman : je l'ai vue le même jour, même moment que toi. Moi, je ne juge pas ta manière de la baiser, avec ou sans : je suppose que tu as l'âge de savoir et tu fais ce que tu veux, c'est ton problème. Ce qui est juste, c'est que tu as agit sans cerveau : elle était pètée à tout ce que tu veux (came, alcool, etc...) elle ne tenait pas sur ses jambes et exhibait ses chicots. Rien qu'à la voir on devinait la puanteur. L'histoire des chips est malheureusement vraie (ils dégoulinaient de sa bouche, additionné de salive gluante (comme le reste de son corps qu'elle montrait et qu'elle n'avait plus lavé depuis longtemps).
Alors maintenant, je me permets de porter un jugement : même sans cerveau comme tu le reconnais, il faut être fou pour amener une épave gluante à l'hôtel. Il y a des filles de rue plus correctes, plus performantes, qui se lavent avant/après leur prestation. Comment peut-on tomber dans la crassophilie à ce point là? J'aimerais comprendre. C'est ça la vraie question.

Ton récit m'à dégoutter pour la soirée !
Je ne comprend pas qu'on puisse aller voir ce genre de fille, mais apparemment c'est monnaie courante dans le quartier ?!

[Aurélio]

Taunus toujours active sur ce forum ?

Non.

[Taunusman]

Vendredi dernier vers 18h, j'ai été me promener du côté de la batte pour voir qui étaient les filles qui faisaient le trottoir à ce moment-là.
Je suis tombé nez à nez avec une junkie en short très court et en bottes blanches, je m'en approche et j'attend qu'elle m'accoste.
Elle me demande avec une bouche édentée dont 3 seuls chicots noirs encore accrochés aux gencives si je voulais passer du bon temps.
Je lui ai dit que oui mais en observant sa tête, j'ai été un peu repoussé alors je lui ai dit que j'allais encore réfléchir et je suis parti faire un tour en marchant dans les bonnes vieilles rues Champion et Agneau (que de souvenirs irregrettables). Je me dit tout en marchant: "est-ce que je m'y risque à y aller ou pas?" Dieu sait qu'elle avait de super jambes bandantes (dans des habits pas très propres mais bon).
Je continue à marcher vers le grand parking du quai de la batte tout en réfléchissant "j'y vais j'y vais pas?"
Je l'observe au loin qui était entrain d'accoster des gars. Je commence machinalement à mettre ma main en poche (sans réfléchir) et je me touche, je commençais à avoir un début d'érection, certainement à cause de la vue de ses jambes que ma psychologie voulait naturellement écarter.
Sans cerveau, avec la folie du cul en tête, j'avance vers elle.
Je lui demande combien elle demande. Elle me dit d'un air pété (alcool ou drogue) 50€ pour tout. Je lui ai demandé pour aller à l'hotel {23€ quand-même( prix d'une passe rue marnix)enfin bon} et elle me dit pas de problème.
Je lui demande tout excité si elle faisait aussi une extra fell, elle me dit que oui. Je lui demande aussi si elle se laisse baiser sans capote, elle me dit que non. J'insiste un peu et elle me dit qu'avec moi exceptionnellement oui.
Nous voilà partis dans le 1er hotel, je marchais 50m devant elle à cause des flics, on ne sait jamais. On rentre, je paie et on va s'installer au 1er étage dans une chambre pourrie (juste bonne pour la nique).
Elle me dit si tu veux me sauter sans c'est 70€, je lui donne 70 et je me déshabille tout en la regardant se déshabiller et j'aperçois un beau vagin muni de belles grosses lèvres. Elle était entrain de manger des chips et tout de suite elle se penche pour me sucer lorsque j'ai vu des morceaux de chips sur ma queue, ce qui m'a dégoûté alors je lui ai dit d'arrêter, en plus avec sa super bouche appétissante, alors elle se couche et je lui met un doigt et je vois qu'elle est fort dilatée (3 accouchements qu'elle m'a dit). Elle se met d'elle-même en levrette et me demande de la prendre.
Je me la prend, je la fait valser d'avant en arrière comme il faut et elle me demande de lui cracher tout, ce que je fini par faire dans ma pure excitation.

Je me suis vite rhabillé et je me suis sauvé car elle m'énervait de me répéter toujours la même chose tellement elle était pétée.

Je n'y retournerai plus.



@ plus
Taunusman, le tireur des litres.