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Discussion : Affections sexuelles (ou autres) : les autres....

  1. #


    Devil57 Guest

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    Merci pour vos réponses.
    Pour le sport j'avais lu que c'etait pas bon , parceque apparament ca accentu encore plus les champignons. Le medecin ma refait une prise de sang pour voir si mes transaminase baisses car j'etais a 63 et 112 . J'espere qu'il va me donner un traitement

  2. #


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    septembre 2011
    Messages
    346

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    Pour les traiter, il faut taper fort d'entrée et personnellement, je suis sceptique sur les huiles essentielles et autres...

    Déjà, va voir un dermato (s'il y a éruption cutanée) ou ton généraliste voire un gastro-enterologue si tu as des troubles digestif important. Il doit te donner absolument du Triflucan. Sans ça, tu vas galerer.

    Concomitamment, il faut reconstituer ta flore intestinale. Tu dois prendre des pré & pro-biotiques. Du Lactibiane Iki associé à Biofilm du laboratoire Pileje va, à coup sur, te remettre d'aplomb après 1 mois de cure. Ça, tu peux me croire, c'est incroyable!

    Bien évidemment, parle à ton/tes médecins avant d'acheter quoi que ce soit.

    Bon courage!

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  1. #


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    octobre 2006
    Messages
    504

    Affections sexuelles (ou autres) : les autres....

    http://tf1.lci.fr/infos/sciences/san...ellation-.html

    Une étude américaine montre que certaines tumeurs cancéreuses de la gorge sont provoquées par des papillomavirus.

    Les risques augmentent nettement pour les personnes ayant des relations sexuelles bucco-génitales.

    Les papillomavirus humains, responsables de la plupart des cancers utérins, sont aussi liés à certaines tumeurs cancéreuses de la gorge. Le risque que ces tumeurs se développent augmenterait nettement pour les personnes ayant des relations sexuelles bucco-génitales (fellation et cunnilingus), selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

    Même sans fumer ou consommer de l'alcool, le fait d'avoir une infection de la bouche avec des papillomavirus et des relations sexuelles bucco-génitales avec de multiples partenaires paraît constituer le principal facteur de risque de certains types de cancer assez rares de la gorge, ont conclu des chercheurs de la faculté de médecine de l'université Johns Hopkins (Maryland). "Le public devrait toutefois être rassuré car le cancer de l'oropharynx (situé à l'arrière de la langue) est relativement rare et la grande majorité des personnes ayant une infection buccale avec des papillomavirus ne développeront probablement pas un cancer de la gorge", explique le Dr Maura Gillison, épidémiologiste et principal auteur de cette recherche.

    Son étude a porté sur 86 hommes et 14 femmes qui venaient d'être diagnostiqués d'un cancer de l'oropharynx et qui étaient déjà infectés par des papillomavirus. Ils avaient 32 fois plus de risques de développer ce cancer. Ce taux est trois fois plus élevé que pour les fumeurs et deux fois et demi plus élevé que pour les personnes buvant régulièrement de l'alcool, précise le Dr Gillison.

    Les participants à cette étude ayant indiqué avoir eu des relations bucco-génitales avec plus de six partenaires durant leur vie avaient 8,6 fois plus de risques d'avoir un cancer lié à une infection avec des papillomavirus. Cette recherche montre aussi que le fait de fumer ou de boire de l'alcool n'a pas accru les risques de cancer de la gorge chez ceux ayant une infection de la bouche avec des papillomavirus. Et le Dr Gillison d'affirmer : "C'est bien le virus qui provoque le cancer".

    Gardasil : l'efficacité du vaccin démontrée

    Le premier vaccin contre le cancer du col de l'utérus, commercialisé depuis 2006, est efficace à près de 100% contre les types de papillomavirus responsables de la plupart des tumeurs cancéreuses utérines. Le Gardasil (Merck/Sanofi Pasteur MSD) a été testé sur plus de 12.000 jeunes femmes de 15 à 26 ans, non-infectées par ces papillomavirus, dans une dizaine de centres hospitaliers dans 13 pays. La moitié du groupe a été vacciné, l'autre moitié a reçu un placebo.
    Résultat : il "est efficace à 98% et sans danger comme le montre la rareté des cas d'effets secondaires sévères", selon le Dr Kevin Ault, professeur de gynécologie à Atlanta, qui a contribué à l'élaboration du vaccin et à l'étude parue dans le New England Journal of Medicine. L'essai a montré que le vaccin était près de 100% efficace contre les types 16 et 18 de papillomavirus, responsables de 70% des cancers utérins. Il a aussi été efficace contre les types 6 et 11 qui causent 90% des verrues de l'anus et des organes génitaux.

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