Les informations sur le forum néerlandophone ne sont pas très claires mais un monsieur qui a visité cette Any à Amsterdam, a écrit qu'il avait l'idée qu'elle allait rentrer là-bas. Personne ne le sait avec certitude.
Les informations sur le forum néerlandophone ne sont pas très claires mais un monsieur qui a visité cette Any à Amsterdam, a écrit qu'il avait l'idée qu'elle allait rentrer là-bas. Personne ne le sait avec certitude.
ANY (bulgare, blonde – Schippersstraat n° 29/1) Shift de nuit.
Par ces temps caniculaires l’Anvers nocturne m’apparut avec plus d’attraits que les dernières fois. Cosmopolite et bigarrée, la clientèle ne manquait pas, ni non plus, d’ailleurs, quelques représentants des forces policières, offrant leur bénévole protection au plus vieux, dit-on, négoce du monde - et ce doit être vrai puisque, paraît-il, même certains primates le pratiquent, avec, entre autres, l’épouillage comme monnaie d’échange, ou force cacahouètes …
Point question de guenon, toutefois, ni de « Moi Tarzan, toi Jane », Annie (ou Anny) étant le prénom porté par l’élue de mon choix. Toute petite (1,50 mètres environ), blonde, légèrement forte du haut des jambes (mais avec cette taille, cela ne me dérange pas), Annie me fit un effet immédiat. L’expression « petite caille », bien qu’elle me répugne par ce qu’elle peut avoir de méprisant, me semble toutefois la plus appropriée pour qualifier l’oiseau rare déniché cette nuit-là, et elle s’est d’ailleurs imposée à mon esprit d’emblée.
Là-haut, atteint par le truchement d’un ascenseur, s’ouvre par magie la porte de la chambre numéro 6, équipée, comme il se doit, d’un grand lit surmonté d’un miroir incliné, dispositif donnant merveilleusement, au cours de l’action, l’illusion d’un quatuor de jumeaux disposés têtes-bêches. Et ce miroir, d’ailleurs, non pas que je sois très admiratif de ma plastique, mais jouer un porno en direct par soi-même et pour soi-même a tout de même quelque chose de vachement excitant, ne fut pas pour peu dans l’apothéose finale, tant, pour le reste, Annie se comporta plutôt, et là j’ai moins de scrupule à l’écrire, en planche à repasser : passivité navrante, avec, au fond des prunelles, l’expression qu’elle révisait mentalement la liste de ses courses à faire chez Delhaize, ou un truc du même genre . Pas méchante, mais…
Conclusion : si Annie vous botte et si vous vous foutez du contact humain comme de votre première chaude-pisse, allez-y, pas d’arnaque, vous pourrez la baiser (cela paraît la moindre des choses, mais pas toujours, à Anvers !); par contre, pour le Nirvana, ou même seulement une vague illusion de sympathie, empathie, complicité, cherchez une autre adresse.
Shift de nuit. 50 €.
Langues parlées : anglais, allemand, un peu de néerlandais.