M'en fous, je veux Sofia. Ma patience sera récompensée puisque je l'alpague juste à sa sortie de sa session avec notre double mètre. Je me dis qu'elle va peut-être être un peu fatiguée... penses-tu. Fraîche comme un gardon, sourire désarmant et clé en poche, elle ne s'accorde pas la moindre pause.
Et dans le bungalow 18, nous devisons agréablement en installant le drap blanc, jusqu'à ce qu'elle me fasse comprendre que les choses sérieuses vont commencer. Pas de tergiversations, c'est au pied du mur... qu'on voit le mieux le mur.
Tout ayant été dit sur sa technique fellatoire et la comparaison avec celle de Regina, je ne m'y attarderai donc pas. Mais la petiote en voulait plus. Mon petit doigt me disait qu'elle serait réceptive à un cunnilingus bien appliqué, et je me mets donc à lui titiller le bouton d'amour de la pointe de l'escalope. Le joli bestiau démarre quasiment au quart de tour. Après deux minutes de lubrification superficielle, je me permets d'introduire un doigt. Elle en veut deux. Puis une main féminine vient joindre ses efforts à ceux de ma langue sur la partie la plus sensible de son anatomie. C'est plus un cunni, là... Je remets ma langue en poche et j'astique donc des doigts l'intimité de Sofia, qui me guide sur le rythme à adopter, approche de l'orgasme, redescend, et repart de plus belle. Elle prend mon autre main pour que je lui malaxe les seins (fermes, doux, pelotables à un degré extrême)... ça a bien duré un quart d'heure, j'ai même dû changer de main pour passer à une dextre plus adroite (jeu de mot). J'espère simplement que personne ne dormait dans le bungalow d'à côté...
A peine le temps de lêcher le suc de ses entrailles, Sofia se jette sur mon service trois-pièces et réalise alors une gorge profonde d'anthologie, un ventousage du gland couplé à un malaxage des orgeuilleuses auquel je n'ai, finalement, aucune envie de résister trop longtemps. Le CIM final est donc indescriptible...
Je me serais bien étendu deux minutes pour récupérer, mais cette pile Duracell de l'Amour bondit hors du lit. Exagère-t-elle quand elle dit qu'elle jouit presque avec chaque client ? Pas grave, le fantasme tient ses promesses.